Attention à ne pas vous trancher un doigt en allant vous promener dans cette boucherie de Chelsea Market où la poignée de porte ferait peut-être saliver d'avance plus d'un cannibale.
Les deux clichés expliquent une manipulation. Pour pouvoir prendre le tranchoir, j'ai retiré le panneau d'information qui le protégeait, refermé la porte, et tout remis en place avant de partir. Ni vu, ni connu, sauf pour que cela se voie de vous, justement!
Bonjour Dolce. Depuis que Mafalda est apparue dans votre blog, je suis extrêmement admiratif. Elle possède au plus haut point ce qui était appelé, il y a peu "l'oeil américain". Elle voit tout, elle trouve tout là où d'autres (comme moi) passent sans rien remarquer ! C'est une très belle femme qui "chasse" l'insolite, l'inhabituel, le détail qui tue...On aimerait âtre "l'homme invisible" pour la suivre dans sa quête toujours fructueuse ! Un Albert Londres en jupons ! Chapeau bas !
Plus en pantalon qu'en jupons la "fillette" ne serait-ce que pour arpenter sans discontinuer les trottoirs de Manhattan quel que soit le temps. Comprenez ma tristesse quand Dolce a annoncé son retour en mère patrie. Quid des clins d'oeil à NY. Dolce a l'extrême gentillesse d'héberger quelques uns de mes clichés. Je lui dois cette totale mise en avant de cet "oeil" que vous dites "américain" mais que je ressens comme simplement Nykais! Merci, quoi qu'il en soit pour le compliment!
Les deux clichés expliquent une manipulation.
RépondreSupprimerPour pouvoir prendre le tranchoir, j'ai retiré le panneau d'information qui le protégeait, refermé la porte, et tout remis en place avant de partir.
Ni vu, ni connu, sauf pour que cela se voie de vous, justement!
PS : j'ai encore tous les doigts!!!!
Bonjour Dolce. Depuis que Mafalda est apparue dans votre blog, je suis extrêmement admiratif. Elle possède au plus haut point ce qui était appelé, il y a peu "l'oeil américain". Elle voit tout, elle trouve tout là où d'autres (comme moi) passent sans rien remarquer ! C'est une très belle femme qui "chasse" l'insolite, l'inhabituel, le détail qui tue...On aimerait âtre "l'homme invisible" pour la suivre dans sa quête toujours fructueuse ! Un Albert Londres en jupons ! Chapeau bas !
RépondreSupprimer@ Serge The Crazy
RépondreSupprimerPlus en pantalon qu'en jupons la "fillette" ne serait-ce que pour arpenter sans discontinuer les trottoirs de Manhattan quel que soit le temps.
Comprenez ma tristesse quand Dolce a annoncé son retour en mère patrie.
Quid des clins d'oeil à NY.
Dolce a l'extrême gentillesse d'héberger quelques uns de mes clichés.
Je lui dois cette totale mise en avant de cet "oeil" que vous dites "américain" mais que je ressens comme simplement Nykais!
Merci, quoi qu'il en soit pour le compliment!