Bon. Je vais arrêter de m'excuser de ne pas poster plus souvent, parce que, han, chuis majeuse et je fais ce que je veux, même si je sais bien que ça vous peine, grave. Enfin je dis ça pour ceux qui ne sont pas allés se suicider de tristesse (j'espère à la fois qu'ils sont nombreux mais qu'en fait... non... en fait non, quand même, faudrait pas pousser mémé trop loin dans les orties).
Il s'est passé un truc un peu fou cet été. Je suis. Retournée. A New York. Eh ouais. Sans prévenir presque personne (je sais, c'est mal) mais j'y suis allée si peu de temps que c'était déjà assez sport comme ça de ne pas faire exploser mon agenda pour quelques jours. Donc, mea culpa, mea maxima culpa de ne pas avoir partagé ce moment émotionnant :
1. en direct avec les z'amis sur place, au moment opportun
2. en différé, de ne pas avoir posté dans la foulée le détail de mon périple documenté par la minute.
Mais tout ça pour dire que j'ai retrouvé un chouia de matière pour vous parler un peu de Nueva York avec des trémolos dans la voix ou presque.
Je dis ou presque parce que, étonnement, je n'ai pas versé de larme émue en sortant de l'aéroport, je n'ai pas embrassé le tarmac, je n'ai pas fait un big ugh à l'officier d'immigration, je ne me suis pas menotée à un feu rouge pour rester là advitam.
Nope. New York et moi, ce fut une grande histoire d'amûûûûr, et c'est aujourd'hui un souvenir magnifique et merveilleux, mais j'ai tourné la page, pour pouvoir poser sur mon étagère, au panthéon de mes bons moments, quelques jours de plus dans la ville qui ne dort jamais.
Et hop, Bryant Park à la tombée de la nuit.