29 juin 2015

A Lisbonne, pour un café

Plus accros que les Italiens, les portuguais, à votre avis ?
Ou simplement plus tête en l'air ?
Et pourtant, c'était même pas lundi !

22 juin 2015

Le Louvre, pour moi (ou presque)

L'an dernier (voui je sais, j'ai du retard dans mes photos, et c'est pas peu dire), j'ai pu avoir le Louvre pour moi (presque) toute seule : après un salon pro au Carrousel du Louvre (les grandes salles en sous-sol), on nous a proposé de visiter le musée, par petits groupes, avé un guide. Après la fermeture. 

Que dire ? La Joconde pour 20 personnes, quand en temps normal, y'en a plutôt 200 dans la salle, c'est juste un truc de malade. 
Tellement que, impressionnée que j'étais, je n'ai même pas osé le selfie avec Mona Lisa, et pourtant, j'aurais pu. 
Mais devant Delacroix, je n'ai pas résisté, j'ai demandé à une copine qui m'accompagnait d'immortaliser la salle presque vide. 
Je vous présente La Liberté Guidant le Peuple (floue). 
Et moi, dans la salle (encore plus floue, mais tant pis). 
 Je me suis sentie, l'espace de deux heures, very VIP.
Depuis, les expos, ben, comme tout le monde, hein. Je joue des coudes pour me mettre un peu devant les grands, et voir quand même les tableaux !
Mais le matin, le site est encore bien calme. Et quand le soleil de juin pointe (enfin) son nez, c'est un plaisir de s'y poser quelques instants.  

15 juin 2015

Barcelone insolite

Pour ceux qui suivent ou s'interrogent, la photo de l'article précédent a bien sûr été prise à Barcelone devant la Sagrada Familia
Et, de Barcelone, je suis bien sûr revenue avec des tas de photos de ciel bleu, mais pas que. Nan, j'ai aussi réussi à rapporter des photos de tas de trucs plus ou moins étranges. 
La marque de pains et viennoiseries Bimbo, dont je ne me souvenais pas (alors que j'ai bien vécu en Espagne, pourtant), et qui m'a fait ricanner bêtement devant les affichettes : 
Mais qui ne vaut bien sûr pas les cours de coiffure canine. Bon, bien sûr, si j'écris cours de toilettage, c'est beaucoup moins marrant. Surtout que quand je sors le sèche cheveux devant Maïa, elle est pas du tout en extase comme le petit chien de l'affiche, mais plutôt en mode Courage Fuyons Devant Cet Ennemi Souffleur De Vent (Maïa va bien, merci pour elle).  
Et pendant ce temps, Maïa attend à la maison, probablement vautrée sur mon canapé, pendant que d'autres sont pendus à ces petits crochets par la laisse. Sioupère bonne idée, if you ask me, parce que devant la boulangerie près de chez moi, zéro crochet, mais une grosse interdiction d'entrée avec un chien. Pas hyper pratique, à moins d'être armée d'un grand sourire et de faire face à Monsieur le boulanger et non Madame. Oui, le sexisme, des fois, ça marche. 
Par contre, l'application QR Code de mon smartphone, amarchepô pour ce code là. La mosaïque romaine, c'est peut-être trop ancien pour fonctionner avec une application Androïd ? 
 

08 juin 2015

L'Europe, au fil des week-ends

J'ai un peu vadrouillé en Europe l'an dernier. Au Sud, Barcelone et Lisbonne. Un peu plus au Nord, Londres. Un peu plus tard, Florence. 
J'ai pris le temps, en 2014, de visiter l'Europe que je ne connais pas. C'est bien d'aller vadrouiller en Amérique quand on finit ses études, mais c'est moins pratique pour visiter les pays autour de soi.
Quand on a un solde de vacances plus que limité, rentrer en Europe dans l'année signifie aller voir sa famille et pas aller faire du tourisme à Prague. Ou Lisbonne. Ou Londres. 
Du coup, j'ai vu ma famille l'été pendant les années new-yorkaises, j'ai visité pas mal de coins etats-uniens, canadiens et latino-américains, et maintenant, je me venge sur le continent européen. 
2014, c'était le temps des premières fois : première fois à Barcelone, à Londres, à Lisbonne, à Florence, à Istambul. Au lieu de longues vacances, des virées entre copines à travers l'Europe. Parce que, par exemple, quand l'une habite Genève et l'autre Paris, pourquoi se cantonner à ces deux villes ? Quand le bureau m'envoie à Londres pour des rendez-vous, pourquoi repartir le vendredi soir en France ? 
Yapuka. Alors voilà, c'est fait. Et c'est chouette. Et encore plus de ne pas visiter la vieille Europe au pas de charge, en deux semaines, version asiatique ou américaine, mais de prendre son temps. La Dolce Vita, en quelque sorte... 

02 juin 2015

Résilience

Je suis épatée, vraiment, par la résilience du blog, qui ne tourne plus depuis, hum, bien trop longtemps, et dont le dernier article a été posté par mes soins le 2 juin dernier. Hey! Bon anniversaire de non-écriture ! Voilà. 
Figurez-vous, chers lecteurs survivants (houhou, y'a quelqu'un ?) (écho ?) que vous êtes encore une petite centaine à venir regarder le blog tous les jours, pour une moyenne d'entre 300 et 400 pages visitées chaque jour. Pour un blog pas mis à jour depuis un an pile poil, afébeaucoup (et afébeaucoup de mots "jour", aussi). 
Figurez-vous aussi que certains d'entre vous ne savent pas lire. Eh ouais. La petite note de l'étudiant(e) qui demande de l'aide pour s'installer à New York me fait plaisir, certes, mais quand c'est pour me demander une adresse et des bons plans, je me dis que 1. j'ai transpiré pour faire une section New York pratique pour rien et 2. la personne n'a pas suivi que j'étais partie en France en juillet 2012.
A fortiori, quand la requête vient d'un éditeur peu scrupuleux, dont le texte devient un truc du style
J'adore ton blog, les photos sont très belles, et c'est top de voir New York par tes yeux ! Puis comme il est bien tenu et mis à jour, ça me permettrait d'avoir un trafic de dingue sur le site de mon agende de voyage / de pub / d'échanges si tu acceptais un échange de liens !
Merci ! 
Ouais, voilà, merci d'avoir lu, hein.
On est quand même en 2015, ça va faire trois ans qu'à part quelques photos ici et là, je n'ai pas posté grand chose (et ça n'est pas près de changer) mais qu'on me demande toujours. Je renvoie les pubeux vers leurs lunettes et les étudiants vers les blogs qui tournent, eux, depuis Big Apple, et je continue à m'extasier devant les photos de Clara, sur Instagram et sur son blog, aussi. les petits derniers qui ont grandi, boudiou c'est pas possible, chez Choup & Lyly, et tous les autres, aussi. Et je souris, en regardant tout ça. Sans regret aucun, contente d'être ici, maintenant, et contente de savoir que tout ce petit monde là continue à tourner. 
Je continue à profiter des vacances à la française qui permettent d'aller vadrouiller ailleurs, sous prétexte de RTT et ponts tellement longs qu'on en fait des viaducs. 
Et tant que j'ai un peu de temps, je vais trier la myriade de photos que j'ai et vous faire profiter (un peu) des bizarreries vues au fil des week-ends et voyages. 
Histoire de dire que, voui, je vais bien.