Girls out in Philly (gone wild ?)

Il y a des gens qui vont à Philadelphie pour l’histoire, et il y a ceux qui vont à Philadelphie parce que. Nous, on est allé à Philadelphie parce qu’il allait faire beau, parce qu’on voulait sortir de New York, parce que depuis le temps qu’on est là on n’y avait toujours pas posé un doigt de pied, parce que, quand même, c’est le berceau de l’histoire américaine (c'est à dire qu'il y a aussi des publicités pour que vous alliez visiter la maison de Benjamin Franklin, comme en haut de l'immeuble ci dessous)

Du coup, on s’engouffre à quatre minettes dans la jolie petite voiture rouge d’Angélique et on s’achemine à coup d’Ipod vers Philly.

On bavasse tout ce qu’on peut dans la voiture et quand on arrive, on mitraille la ville façon japonais en Europe – on dira si on a apprécié quand on aura fait développer la péloche.

On se gare et on se promène. Anne Laure nous donne quelques repères historiques, on tourne autour des musées et on z’yeute la Liberty Bell.

On traine un peu, on se trouve un joli petit resto italien pour déjeuner en terasse – un 11 mars, oui oui ! Et puis pour digérer, hop, un petit caramel machiato de chez Starbucks, histoire d’avoir son sugar fix de la journée.

On va récupérer une carte postale dans une boutique à touristes et on admire les ongles roses d’Angélique si bien assortis à la couleur de sa pochette d’Ipod.

On se fait aussi photographier avec la troupe de pompiers qui s’ennuyaient par là. (C'est en photo ici)

Et puis, en remontant les rues de la ville, les neurones de fille remontent à la surface et viennent vous coller le nez aux vitrines des magasins de chaussures… Et on passe le reste de l’après-midi à essayer tout ce qu’on peut pour empirer sa shoe-addiction.

On repart heureuses, les joues rosies par la journée balade et l’esprit heureux de tant de nouveautés enmagasinées…

Elle est pas belle la vie ?