Mine de rien... semaine de rien.
L’intensité de ma semaine a été au moins aussi élevée que le QI d’un escargot de bourgogne abandonné sur une plage de la côte d’Azur en plein soleil tout le mois d’août : quasi nulle.
Entre 9 heures du matin et 17 heures, j’ai fait de la présence au bureau, relevant mes 4 à 5 pauvres e-mails du matin et m’appliquant pour y répondre, ce faisant j’atteignais laborieusement les 10 heures du matin, heure à laquelle tout Français qui se respecte s’octroie une jolie pause café d’une bonne demi heure, puis retourne traîner un peu sur Internet avant de partir déjeuner. Au retour du déjeuner, si j’avais de la chance, j’avais reçu entre temps un e-mail pro, et après y avoir répondu, je pouvais à loisir aller suer sang et eau sur les sites de recrutement (Danone, Kraft, Cadbury ou Nestlé) pour répondre à leurs questions existentielles sur le bien fondé de ma candidature. Greu.
N’empêche, ça passe le temps. Rien que pour Unilever, mis bout à bout, le temps de récupérer quelques neurones pour écrire une bafouille, ça prend une belle journée.
A part ça… Je hante la médiathèque de Reims dont je dévalise les rayons, DVDs et autres CDs, livres en tout genre. En ce moment, ne sachant pas trop quoi lire, je me fie, au gré des rayons, à la couverture de tranche, avant de lire la 4ème de couverture. Ou encore, je plonge dans le rayon des nouveautés, et des derniers livres ramenés.
Ce week-end je rentre à Maizeray, après avoir vidé consciencieusement tout ce que je peux déjà rapporter de Reims… mon appartement a des airs de campement… Plus qu’une semaine de stage !
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