Le cookie au chocolat de Bouchon Bakery

Hourra! Yes, yes, yes, yeeeeeeeeeeeeeeeees!!!!!!!
J'ai l'air d'avoir un orgas*me en ecrivant ca ? On n'en n'est pas tres loin. J'ai teste cet ete (mais je suis en retard sur mon feebdack, et feignasse qui plus est, rien de nouveau sous le soleil de ce cote la) le cookie aux pépites de chocolat de Bouchon Bakery. Eh bien disons qu'il etait bon, tellement bon que je pense approcher du Saint Graal du cookie dans ma quete personnelle. C'est pour dire.
Mais bon, c'est un peu normal, Bouchon Bakery, c'est francais a l'origine, alors on n'en n'attendait pas moins. Hein ? Quoi ? Chauvine, moi ? Boaf, tout de suite... Chauvine, je sais pas, mais monomaniaque du cookie, ca, c'est sur. (Bonjour, je suis Dolce V. et je suis accro au chocolat et aux cookies aux pepites de chocolat)
Quoi qu'il en soit, il a fallu attendre un jour de l'ete new-yorkais (Chaud, humide, erk, et pourtant maintenant on le regrette deja. On n'est jamais content je vous dis) pour que je me decide a aller jusqu'a Columbus Circle et tester le cookie aux pépites de chocolat de Bouchon Bakery.
Alors je vous dis tout de suite, j'y etais deja allee avant. Eh oui. Mais y'avait plus de cookie aux pépites de chocolat. C'est dire le drame. Du coup j'avais teste le "double chocolate chip cookie" qui est une pate au chocolat avec des petites de chocolat. Trop riche pour moi, et trop proche du brownie.
Mais la derniere fois que j'y suis allee, il restait des cookies aux pépites de chocolat. Je suis une fille raisonnable (des fois) et donc j'en ai pris un. J'ai essaye d'attendre d'etre sur un banc a Central Park pour entamer le cookie, mais j'ai craque avant.

J'ai mordu dedans. Une fois, puis deux, puis plus. A chaque bouchee, j'avais comme dans Ratatouille un petit feu d'artifice qui mettait le feu a mon cerveau et qui disait "encore, encore !". Inutile de dire que quand j'ai atteint Central Park, il ne restait plus beaucou p de cookie... Mais je suis une fille raisonnable : je ne suis pas retournee en acheter un second.

Il etait parfait pourtant : legerement croustillant a l'exterieur, moelleux au milieu, legerement "sous cuit", tiede, et le chocolat fondait en bouche, tout comme j'aime. Heureuse (E-R-E-Z, si vous vous souvenez de Roger Rabbit)..
La bonne nouvelle : c'est pas exactement a cote de mon bureau, ca evite donc qu'au detour d'une lettre a poster, je me trouve soudainement en train de commander un cookie et de baver sur la vitrine.
Corrolaire : je n'ai pas ose retourner a Columbus Circle depuis, c'est devenu une zone tres tres dangeureuse pour moi...