09 avril 2005

Temps de chien, vie parisienne

La niouzlettre on-time cette fois-ci. Comme quoi avec un peu de volonté on fait des miracles…
Alors, on reprend chronologiquement. Vendredi dernier, je me suis éclipsée du bureau vers 17 heures, ce qui m’a permis de rentrer tranquillement en voiture à Maizeray : le retour de l'enfant prodigue fêté avec une soupe à l’'oseille, et avec force détails sur le voyage en Inde des parents.
Samedi, virée à Metz pour aller chez le coiffeur. Cadre luxueux et tout le monde aux petits soins, j'’y ai tout de même passé pas loin de deux heures et pour quel résultat ! J’'en suis sortie guillerette avec les cheveux… courts. Papa en a frisé la crise cardiaque : à croire que l'’essence même d’un être se dissimule au plus profond de la kératine des cheveux. Sinon, le verdict global (collègues ou amis) : ça change, ils aiment bien. Ça tombe pas trop mal : moi aussi.
Dimanche, glandouillage, intendance et promenade des chiens : grande balade au soleil, enfin !

Lundi, j’ai réattaqué en parisienne (presque) accomplie : voiture jusqu’à Reims puis train pour Paris, j’'étais toute la journée sur place avec plusieurs rendez-vous. Un chez Arthus-Bertrand place Saint Germain, où la chef de produit que j’ai rencontré m’'a montré pendant presque deux heures toutes les collections sur lesquelles elle travaillait… et m’'a offert à la fin une parure collier –& bracelet faite pour Lancôme en partenariat avec Swarovski.
L'’après-midi, j’ai rencontré la rédactrice de la newsletter Piper-Heidsieck, avec qui, après avoir parlé boutique, on a embrayé sur New-York dont elle revenait tout juste et moi aussi.
Puis j’'ai courru au studio de production chargé de la réalisation des DVDs Piper-Heidsieck, pour valider leurs dernières modifications filmiques (ça se dit ?), et aussi de galette et jaquette du DVD en lui-même. Après ça, c'’était le bonheur de sauter à nouveau dans un train pour revenir dans le calme rémois.

Mardi et mercredi, j’'étais à Reims. Petit cours d'’improvisation, lectures diverses… J’'ai achevé en deux jours le dernier Ken Follet en date,– Peur Blanche,– l’'histoire d’un virus ultra dangereux dérobé à un laboratoire en Ecosse. Un thriller comme on les aime et qui nous fait dire « allez, encore un chapitre et je me couche » et on se retrouve trois heures plus tard à terminer l’'ouvrage.

Jeudi et aujourd'’hui : de retour à Paname. Hier une réunion pour le festival de Cannes –: le groupe Rémy Cointreau en est partenaire officiel –- avec le head office de Nikki Beach et tous les responsables relations publiques de Rémy Cointreau. Aglagla maman… en fait j’'ai surtout trouvé les deux responsables de Nikki Beach un peu trop « américaines » : sourire ultra bright, teint hâlé et assurance à toute épreuve, dédain assuré. Je me calme, je me calme… C'’est leur boulot.

Hier soir je me suis offert une french manucure à la sortie du bureau avant de retrouver Jean-Baptiste à dîner dans un restaurant du Marais interlope. Amusant !

Aujourd'’hui je rencontre un groupement de photographes pour les faire éventuellement travailler sur des photos du vignoble Piper et dans l'’après-midi, je file chercher mon chéri à l’aéroport : il est revenu pour le week-end…:)

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