31 octobre 2005

Dog Mascarade Day

C'etait dimanche dernier, 23 octobre, sur Times Square... Une sorte d'Halloween au grand dam des toutous de ces dames et messieurs...


Grimace le bulldog portait ainsi son petit costume de Yellow cab... Son maitre Scott Warren a remporte le prix du meilleur costue de sa categorie !
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Source : AM New York

30 octobre 2005

You know you are from New York when...

You’re 35 years old and don’t have a driver’s license.

You ride in a subway car with no air conditioning just because there are seats available.

You take the train home and you know exactly where on the platform the doors will open that will leave you right in front of the exit stairway.

You know what a “regular” coffee is.

It’s not Manhattan… it’s the “CITY”.

There is no North and South. It’s “Uptown” or “Dowtown”.

If your are really from New York you have absolutely no concept of where North and South are… and East or West is “Crosstown”.

You cross the street anywhere but on the corners and you yell at cars for not respecting you right to do it.

You move 3,000 miles away, spend 10 years learning the local language and people still know you’re from Brooklyn the minute you open your mouth. (ca marche aussi pour les francais qui s'installent aux US... moi incluse !)

You return after 10 years and the first foods you want are a “real pizza” and a “real” bagel.

A 500 square foot apartment is large.

You are not under the mistaken impression that any human being would be able to actually understand a P.A. announcement on the subway. (C’est vrai d’ailleurs, quelqu’un a-t-il deja compris quelque chose à leur charabia de *shmalayala closing doors*?)

You get ready to order dinner every night and must choose from the major food groups which are: Chinese, Italian, Mexican or Indian.

You’re not the least bit interested in going to Times Square on New Year’s Eve.

Your internal clock is permanently set to know when alternate side of the street parking regulations are in effect.

You pay “only” $230 a month to park your car. (bien contente de ne pas avoir de voiture !!)

You cringe at hearing people pronounce Houston Street like the city in Texas.

The presidential visit is a major traffic jam, not an honor.

You can nap on the subway and never miss your stop.

THAT'S NEW YORK, BABY! YA GOTTA LOVE IT.

29 octobre 2005

Bumper sticker


Mariage (pas le mien), Six Flags, French Tuesday et Brushing


Niouzlettre ecrite avec une petit jour d’avance parce que sinon question nouvelles fraiches ce serait vraiment pas terrible.
Ouiiiiiiii je sais un jour, je ferai des titres plus originaux pour mes niouzletters. C'est juste qu'au bout d'un moment ca devient difficile, alors bon... Comme ca, vous avez un petit apercu de ce qui s'est passe avant de lire.
Rentrons donc dans le vif du sujet pour faire retomber l'excitation de l'inconnu, le stress du lecteur. Qu'est ce qui m'est arrive cette semaine ? (J'avoue, pas si stressante que ca, la semaine)
Je suis allee diner “Au coin du feu” pour le mariage de Virginie et Pierre.
Samedi, on est alle magaziner en collocation. D’abord une tentative vers Springfield pour un sample sale de montres LVMH, mais quand on est arrive vers 14 heures, il faisait tres froid, il commencait a pleuvoir, et la file d’attente, dehors, ne bougeait pas d’un iota… Apres 10 minutes de concertation, on a donc decide de s’en aller – après information aupres des gens qui ont resiste a l’attente, 400 dollars une montre Tag Heuer, ca a beau etre une super discount, c’est quand meme 400 dollars pour entendre tic tac sur une montre chronometre. Gloups. Histoire de tout de meme faire un peu chauffer nos cartes bleues, vu qu’on s’etait prepare a ca, on est alle aux outlets de Secaucus. Toute une banlieue facon Mark Avenue a Troie, mais en plus grand et plus interessant. Ca prend des allures de ville fantome, mais question courses c’est top : Kenneth Cole, Calvin Klein, Tommy Hilfiger, etc. Le soir, a Hoboken , on a litteralement acheve un reste de gateau que William nous avait apporte lors de la soiree jeux de jeudi… C’etait interessant ! Par contre le petit film qu’on a fait du gateau fait 4.5 mega donc pas moyen de l’uploader sur Over Blog… Bouhouhou… Par contre je peux l’envoyer par email a qui le voudra !
Dimanche on est alle hurler sur les rollercoasters de Six Flags  pour feter la graduation d’Angelique. Au total ? Une journee au grand air, et dans le vent, du haut des rollercoasters on hurlait tout ce qu’on pouvait…et quand c’etait vraiment trop impressionnant on ne criait plus du tout, on se crispait en s’accrochant a nos sieges… Mon prefere ? Le Medusa. Celui qu’on aurait aime faire mais qui nous faisait trembler rien que de le regarder ? Le Kingda-Ka. Parce qu’on avait la trouille qu’il y avait trop de monde, on n’y est finalement pas alle.
Le soir, on a dit au revoir a Pfff qui rentrait en France. Mais c’est pas si grave parce que je la revois la semaine prochaine a Paris, moua !
Puis debut de semaine un peu moins glop, parce que j’etais un peu malade et donc toute flagada lundi – en plus Thomas m’a abandonnee pour aller faire des relations publiques chez un client a Columbus Ohio. Groumpf.
Mardi soir, evidemment, je n’ai pas resiste au son annees 80 et autres des French Tuesdays. En photo sur le site, je suis ! Ok, pas tres grand, mais bon, le petit machin en pull bleu avec des cheveux tous frises et des lunettes, en bas a gauche, derriere William en chemise mauve, c’est moi !! 


Mercredi, hier donc, je me suis echapee un peu plus tot du bureau pour aller me faire coiffer un chouia. Pas trop de changement question coupe, mais avec le brushing, tout de meme, ca a donne ca :  


Ouioui je fais de l'egocentrisme en mettant ma photo sur mon blog. Mais un blog, c'est deja egocentrique au depart, quand c'est tourne facon carnet de route, non ?
Et le soir, diner a Hoboken, roti de boeuf au vin rouge, epices et miel. Miam miam. Et ce soir, je m’envole pour la France, ou je reste jusqu’au 5 novembre… Meme si la journee du 5 va etre courte a Paris : je repars sur le vol de 8h25 de Madame Air France… alors que je fete l’anniversaire d’Anne la veille au soir. Qui c’est y qui va dormir dans l’avion ? Hum ?
Je vais decouvrir ma Corse pas du tout natale, la Castanicchia ou mes parents viennent tout juste de demenager… A les entendre, la maison a encore des allures de campement, mais je reste confiante. A suivre !

28 octobre 2005

You're travelling light

C’est ma blonde de collègue, qui, en voyant mon énoooooooooooorme valise jeudi matin – je partais de JFK, je n’allais pas repartir à Hoboken pour repartir le soir, c’eut été au bas mot deux heures perdues.
Juste pour resituer : ma valise, si je la remplis « normalement » elle atteint les 25 kilos. Et si je force pour m’asseoir dessus je peux la monter jusqu’à plus de 35 kilos (ok, la fois là j’avais vraiment eu du mal à la fermer, mais quand même).
Bref, devant mon énorme valise, ma collègue blonde de cœur s’est dit que je voyageais léger. Alors que je partais pour une semaine – avec une valoche à moitié vide, histoire de rapporter des tas de choses dans l’autre sens.
Mais c’est sûr que si je devais emporter rien que le contenu de son tiroir à maquillage (au bureau ouioui) je tuerais mon quota autorisé par les autorités américaines en matière de poids de bagages. C’est maintenant 2 x 23 kilos et pas un de plus… Sauf si l’on fait les yeux doux à l’agent de la compagnie aérienne au check-in !!

Pendant ce temps la, au Bresil...

Satisfy or Get Sued
25 Oct 2005 09:58:00
By Vagelis Theodorou

A 31-year-old woman from Brazil is asserting her right for satisfaction during sex by resorting to Justice. According to the newspaper Terra Noticias Populares, the disgruntled woman filed a complaint against her partner at Chacar Urbana Police station in Jundiai, claiming that her 38-year-old lover was very selfish in bed. Specifically, the 31-year-old complained that her partner simply stopped sexual intercourse as soon as he reached orgasm, without paying any attention to her needs. "We will look into it, we will treat it as an ordinary complaint and let the judge decide," declared Police chief Jose Roberto Ferraz, answering to all those who laughed their hearts out when they found out about the complaint.

Translated by Vicky Ghionis
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Source : EntreNewYork

27 octobre 2005

USA, pays de la "liberté"

En langage diplomatique, cela s'appelle un "incident regrettable" ; pour l'intéressé, ministre de la République, c'est un "contrôle au faciès" . Azouz Begag, en possession d'un passeport portant un visa "A1" (réservé aux diplomates et aux ministres), a été retenu pendant un quart d'heure et interrogé par un agent des douanes, le 13 octobre, dans l'aéroport d'Atlanta (Etats-unis) où il se trouvait en transit alors qu'il se rendait à l'université de l'Etat de Floride pour y donner une conférence sur les nouvelles politiques françaises de lutte contre le racisme.
Sur le moment, le ministre délégué à la promotion de l'égalité des chances n'a pas donné d'écho à cet incident diplomatique qui a été révélé, vendredi 21 octobre, par le porte-parole du ministre français des affaires étrangères.
Evoquant "un contrôle un peu trop poussé", ce dernier a affirmé que le Quai d'Orsay avait "protesté auprès des autorités américaines" et "obtenu des éclaircissements" via le département d'Etat, qui a reconnu qu'une "faute professionnelle" avait été commise par un agent des douanes. L'ambassadeur des Etats-unis en France a d'ailleurs "exprimé son regret". Pour M. Begag, dont la lutte contre les discriminations et la promotion des "minorités visibles" est précisément la fonction dans le gouvernement Villepin, l'expérience n'est pas nouvelle, mais particulièrement symbolique.
Accueilli par une escorte policière à sa sortie de l'avion à Atlanta, le ministre a été, d'après son récit, conduit vers un agent des douanes qui, après lui avoir posé de nombreuses questions, lui a expliqué que son visa diplomatique ne lui permettait pas de donner une conférence dans une université. Dirigé vers une "chambre verte" pour une vérification approfondie, M. Begag, a alors été questionné sur les précédents visas qu'il avait obtenus pour les Etats-Unis.
"La situation était tendue, étrange , rapporte le ministre de l'égalité des chances : le premier fonctionnaire n'a pas vu que j'étais ministre. J'imagine que, dans son esprit, s'est produit un télescopage entre mon passeport et mon visage. A ses yeux, je n'avais pas la tête d'un ministre français normal." Le second contrôle finit par s'avérer négatif : "Ils m'ont rendu mon passeport et souhaité "bienvenue aux Etats-Unis"".
Ce n'est que trois quarts d'heure plus tard, en attendant son vol pour Tallahassee (Floride) que M. Begag est abordé par des officiels américains accompagnés du consul de France à Atlanta, qui le cherchaient dans l'aéroport depuis une heure. "Tout le monde avait été prévenu, mais une mauvaise communication entre services les avait empêchés de me repérer", commente le ministre.

SITUATION NOUVELLE
Fils d'immigrés algériens, élevé dans un bidonville de Villeurbanne (Rhône), sociologue et romancier à succès avant d'intégrer le gouvernement, Azouz Begag n'en est pas à sa première mésaventure de ce genre. Voici quelques années, coiffé d'un bonnet de laine par un jour d'hiver, il avait été bloqué dans le sas d'une agence bancaire pendant que le directeur appelait la police. En 1995, à Lyon, il avait été remarqué par Jacques Chirac en lui racontant sans détour comment des jeunes se font refouler des boîtes de nuit à cause de leur "gueule d'Arabe" .
"Depuis le 11 septembre 2001, j'ai systématiquement des ennuis aux Etats-Unis, dit-il aujourd'hui : nous ne sommes plus traités comme les autres, uniquement à cause du faciès." En 2003, alors simple écrivain et porteur d'un passeport ordinaire revêtu de multiples visas dont ceux de pays arabes où il s'était rendu à l'invitation de centres culturels français, M. Begag avait déjà été retenu et pressé de questions.
A l'aéroport d'Atlanta, cette fois, le ministre de la République a expérimenté une situation nouvelle où "c'est un autre Azouz qui franchit la frontière, et qui ne peut pas accepter les choses comme avant" . Sur les murs de l'aérogare géorgienne, des portraits de Martin Luther King et des héros de la lutte contre la discrimination des Noirs lui ont procuré une "pincée d'émotion" , lui rappelant que le pasteur noir avait été la référence, en France, de la Marche des Beurs de 1983. A Paris, reconnaît M. Begag, "ce genre de télescopage est assez fréquent". A plusieurs reprises, des interlocuteurs l'ont pris pour... le garde du corps du ministre.
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Source: Le Monde http://www.lemonde.fr/web/article/0,1-0,36-702696,0.html

Tristan Bernard

Il ne faut compter que sur soi-même. Et encore, pas beaucoup.

26 octobre 2005

Tu pars en Corse... C'est où ?

Eh oui. Triste constat, mais la majorité des américains ne savent pas où se trouve la Corse. Pardon. Ne savent pas que la Corse existe.
L’autre moitié sait vaguement que cela a un rapport avec Napoléon, non ? C’est là où il est mort, c’est ça ?
Euh, presque. C’est surtout là où il est né, car après avoir conquis le pouvoir, dévasté la moitié de l’Europe par passion ou acharnement, si mes souvenirs sont bons, il a surtout terminé sa vie à Saint Hélène. Mais je ne voudrais pas me brouiller avec mes collègues de bureau pour un ilôt, ils ne comprennent déjà pas comment la France peut fonctionner – plus petite que le Texas, Oh My God !

Metro vs AM New York

Tous les matins, a l’entrée du path train – mon metro pour rejoinder Manhattan depuis Hoboken, j’ai le choix entre deux journaux gratuits.
Eh oui ! On se fait courtiser comme en … Un
quotidien d'information gratuit baptisé "A.M. New York" (New York Matin) est distribué dans les rues de New York depuis le vendredi 10 octobre 2003. Edité par Tribune Publishing, groupe de presse propriétaire de treize quotidiens, dont le Los Angeles Times, le Chicago Tribune, l'Orlando Sentinel, le Sun de Baltimore et à New York Newsday et Hoy (premier quotidien en espagnol de la ville), le journal en format tabloïd vise les jeunes urbains et est distribué du lundi au vendredi dans les grandes gares et stations de métro, aux coins des grandes avenues.
L’adversaire ? Metro, qui est issu du meme groupe que son homologue francais. Lancé le 5 mai 2004, Metro est un journal gratuit distribué, comme A.M. New York a l'entrée des bouches de métro. La production et la distribution de ce magazine, dont la cible est les jeunes lecteurs new yorkais est financé entièrement par la vente de pub.

Vers une nouvelle ère de l'édition?
En attendant, moi, le matin, je prends AM new York pour la caricature que je conserve ensuite, et Metro pour le Sudoku que je fais dans le Path, et sans tirer la langue s’il vous plait ! 


25 octobre 2005

Conduire aux Etats-Unis


Article ecrit par Fred pour ENY et repris par mes soins.


A plusieurs reprises j'ai vu que beaucoup d'entrenewyorkais se posaient des questions sur la conduite aux USA ; si ça valait le coup passer son permis aux US, comment il faut faire etc. Etant dans le New Jersey, cette démarche a été indispensable pour moi. Je vais vous conter tout ce que vous avez toujours voulu savoir...

Avant que je commence ma prose Il faut savoir deux choses : 1) le permis de conduire et la carte d'identité ne font qu'un et 2) il est techniquement possible de vivre aux US sans "ID" et tout ça le plus légalement du monde. Bizarre, vous avez dit bizarre ? Comme c’est bizarre !

Dans le Niou Djersy les permis extérieurs à l’état étant valables que 60 jours je n'avais pas le choix : repasser le permis. Il a bien fallu que je commence par le commencement, i.e., apprendre le code de la route. Je voulais y aller sans le réviser mais un collègue m'a dit qu'il y a des questions un peu idiotes (sur les amandes par exemple) pour lesquels il n'est pas possible de deviner la réponse. Je me tape donc un livret de 120 pages ou il y a toutes les règles de la conduite made in Jersey. J'apprends qu'il ne faut pas s'engager sur un pont levis lorsqu'il est levé, que j'ai droit à 90 jours de travaux forces si je me gare sur une place handicape, toutes les distances en miles, feet, inches et autres mesures toutes droites sorties d'un des systèmes du moyen-age. Bref, du pur bonheur. Je me suis même rendu compte qu'a un carrefour, sans signalisation, la priorité est à droite mais on n'est pas sur a 100%. Leur système étant assez proche du notre, ça n'a pas été franchement dur. Le seul gros changement est aux niveaux des panneaux. Ces derniers sont assez différents du système international. Par ex, le triangle blanc a bord rouge significatif d'un danger devient un losange doré, que beaucoup de panneaux n'ont pas d'icône mais un message d'inscrit, etc. Mais bon, on s'y fait.

Une fois avoir eu assimilé le code de la route je suis donc allé au point d'orgue de la conduite aux US : le DMV pour Departement of Motor Vehicule. C’est l’organisme officiel qui gère tout ce qui a attrait à la conduite et aux ID. Je vous entends Hurler : " il vient aux états unis et il critique". Et bien une fois n'est pas coutume, 250 millions d'américains et moi-même sommes d'accords. Il y a eu un sondage sur les administrations aux USA et TOUTES les personnes sondées sont formelles : le DMV est la pire de toutes (des supers-MZA en quelque sortes, n’est ce pas M’lle DolceVita ;-) ). Ils ont une telle réputation qu'ils ont décidé de changer de nom (maintenant c'est MVS pour Motor Vehicule Services). C'est dire. Dans tout le New Jersey il y a quatre bureaux qui traitent les cas d'étrangers (dic sit legal alien) voulant passer leur permis. Pas de bol, le plus proche est à une heure de conduite de chez moi. J'arrive donc au fameux centre d'Eatontown, où les locaux sont lavés tous les 6 mois, pour passer ce fichu permis. Je commence par 4 heures d'attente pour que ces messieurs vérifient que je ne suis pas un méchant terroriste et que mes papiers d'identités sont bien valables. Ensuite je porte mon dossier au guichet 14 ou je fais la queue pendant une demi-heure ou une caissière me baragouine quelque chose qui ressemble vaguement à de l'anglais et que j'arrive a déchiffrer comme étant : attendre que qu'on m'appelle pour que j'aille payer. Ca pour attendre, j'ai attendu : 1 heure. Ensuite on m'appelle et je refais la queue au guichet 11 pour m'acquitter de je ne sais quels frais. Re une demi-heure de queue au guichet 18 pour passer le code. L'épreuve débute par un test visuel. Problème, pour activer ce test il faut appuyer son front dur une espèce de masque de plongée qui n'a pas été lavé depuis 6 mois lui aussi. Ils osent prétendre que les Français sont sales ! J'ai vu les microbes me sauter dessus quand je me suis approché ! Test écrit : J'ai eu la grandiose idée de le prendre dans la langue de Molière. C'est bien simple, il a fallut que je retraduise en anglais au mot a mot afin de comprendre ce qu'ils voulaient. La ceinture de sécurité était devenue un baudrier etc. Bref, je réussis. Ouf ! Et la j'ai eu droit a un coup de bol. Le seul. J'ai fait traduire mon permis français et j'ai pu éviter de passer la conduite (un permis international convient aussi). Je me suis rendu compte, plus tard, que l'épreuve consistait à faire le tour du patté de maison sans brûler le seul feux rouge du parcours. J'eus une pensée : il y a des quidams avec des gros SUV équipés de gros V8 surpuissants qui n'ont pas passé de test de conduite digne du nom. J'ai eu froid dans le dos. Même si vous ne conduisez pas aux USA, un conseil, en traversant la route regardez plutôt deux fois qu'une. Autre point ahurissant : pour passer la conduite il faut venir avec sa propre voiture. Il faut donc avoir une automobile pour passer son permis. Nous nageons dans le paradoxe le plus total... Bref ça ne change rien a mes problèmes et je me suis acquis de mes formalités : victoire J'ai ma driving licence ! Ouais !

Point numéro deux, choisir la voiture. Ce qu'on fait les Japonais de pire aux américains n'est pas Pearl harbor mais Honda, Toyota et Nissan ! Comme me dit mon collègue, this damn japaneses has obliged US to built good cars. J'explique, voiture US : pas fiable, sur-consommante et démesurée vs voiture japonaise : hyper-fiables, bien équipées, de taille et de consommation normale. Vous ajoutez à ça le choc pétrolier des années 70 et vous avez 75% du parc automobile local d'origine nippone. Flawless victory. Mon ami mécanicien en France m'a dit "achète jaune si tu ne veux pas avoir d'ennuis" (je l'accorde, il a un langage coloré) et il a raison. C’est pile poil l’inverse d’une Renault… Bon ben, comment se procurer une voiture maintenant ? 3 possibilités : 1) la Lease 2) acheter neuf 3) acheter d'occasion. La lease est très rependue ici. Le principe est très simple, le client paye par mois la dévaluation de la voiture (+ un petit quelque chose, il faut bien vivre) et au bout de 3 ans il la rend. Comme je n'avais pas de "credit history" la lease et l'achat neuf étaient hors de question il me restait donc plus que la bonne vieille occas. D'ailleurs cette petite enquête m'a fait comprendre que peu d'américains possèdent leur voiture. C'est soit de la lease soit de l'achat a crédit. En clair, s'ils doivent se séparer de leur véhicule ils n'ont même pas un penny à récupérer ! Mais revenons plutôt a nos moutons, où acheter cette voiture d'occasion ? Le car dealer ? Je vais faire rapidement un petit tour et je m'aperçois que prix du vendeur = prix réel + 2000$. Sachant que j'avais un budget de 5000 je me suis dit : "on oublie". Par le biais de petites annonces (www.cars.com, www.edumnds.com etc. et www.carfax.com pour être sur qu’elle n’a pas eu d’accident, été volée, accidentée, truandée…), j’ai réussi à trouver la camry de mes rêves, et cerise sur le gâteau, avec une boite manuelle. Je me croyais sauvé... C’est qu’il faut l’assurer la voiture et avant de l’immatriculer !

L'assurance ! Sur 51 états il faut que je me tape le pire. Bien ma veine ! Deux semaines et demi pour assurer ma voiture ! Je ne le pensais pas imaginable. En plus les assureurs sont généralement des escrocs mais alors dans le niou djersy sa frise l'association de malfaiteurs. J'ai calculé qu'en 2 ans de tout-risques je repayais ma voiture. Je me suis dit : "allons donc pour le tiers". Ca fait quand même 1300 daims par an. No comment. Je le répète tout ça est relatif au NJ, les autres états sont normaux (i.e. ils vous assurent en l'instant et avec des prix décents). Heureusement que j'ai réussi à m'arranger car j'avais une voiture pendant 20 jours que je ne pouvais pas conduire car non assurée et sans plaque (on ne pas en avoir si la voiture n'est pas assurée)... Maintenant, zou ! A l’immatriculation.

Une fois que j'avais enfin eu mon assurance il me fallait les plaques et la carte crise (title). Et ou on trouve ça ? Je vous le donne en mil : DMV... Le retour. Mais pour ce coup la je n'avais pas besoin d'aller a l'autre bout du NJ, car j'ai un bureau juste a cote de chez moi qui le fait. Je ne le savais pas mais il y a des passages spatio-temporels. Si, si se sont les portes d'entrées des établissements du DMV. J’avais donc fait un saut dans le temps en 1950. Guichet en bois (contre plaque plutôt), pas de numéros pour se faire appeler mais des quidams qui hurlent votre nom ! Par le guichet en lui-même ça serait trop audible, mais du fin fond du bureau. Ah oui, j'oubliais, les employés ont des concours spéciaux pour être recrutes : c'est le plus acariâtre et déplaisant qui gagne. Vivre en 1950 c’est sympa mais ca prend du temps… 3 heures pour faire les papiers et la plaque. Sapristi ! Finalement j'avais tout en poche ; carte grise (title), plaques (Licence plates) et vignettes à coller (registration). Chose cocasse, moyennant finance vous pouvez personnaliser votre plaque ! Ecrire ce que vous voulez ou prendre des plaques qui "sponsorisent" une association (sauvez les nanimaux battus, les chats qui font pipi sur les canapés, les blessés de guerres etc.). J’ai eu des sueurs froides… Et si comme, Marty Mc Fly, je reste coince en 1950 ? Mais ouf, en repassant la porte j’ai repris le passage spatio-temporel pour retourner en l'an 2000. C’est bien ce que je pensais, c’est inhérent au DMV. Maintenant que j’ai tout en main, je vais pouvoir me lancer dans la découverte des US (surtout des bouchons en fait) avec mon automobile motorisée en toute sérénité.

Voili voila, tout ce qu'il faut faire pour être en bonne et due forme. J'ai rajouté les anecdotes qui me sont, hélas, arrivées. J'espère que ça ne va pas vous rebuter ce n'est pas le but...

Bonne route.

23 octobre 2005

Six Flags

Ca y est, je crois que j'ai compris comment on faisait un lien hypertexte a partir d'une photo... Ca m'evitera de stocker ca sur le serveur du blog, et d'avoir tout au meme endroit, et pour vous de voir quelques photos de montagnes russes, notre escapade dominicale a Six Flags !


Ci dessus : The Batman ride, avec des loopings et tout ca, on est attache par le haut et on fait les loopings a l'envers... Ca fait le cerveau vinaigrette !

21 octobre 2005

Beau temps, brunch et restos

Des nouvelles un peu plus seches cette semaine : enfin ! Samedi dernier, on etait content de se lever et de voir le soleil, a force on avait l’impression que ca n’existait plus.
Les statistiques tombees a la mi octobre ont ete formelles : en l’espace de deux semaines seulement, ocotbre 2005 a atteint la 5eme place des mois d’octobres les plus pluvieux a NY depuis que les statistiques existent… Sic…
Vendredi soir, la collocation de la 2eme rue s’en est allee au cinema voir Wallace et Groomit, The Were Rabbit, qui etait plutot marrant. Le mieux? Le court metrage qui precede le film, et qui met en scene les pingouins de Madagascar. La, je riais tellement que j’en avais mal au ventre, et les larmes aux yeux !
Samedi, comme d’habitude, c’etait glandouille-land et c’etait bien. Parce que samedi soir, on a retrouve une copine au Caffé del Mar – la demoiselle rentre en France lundi prochain… Apres le diner, on a cherche un bar dans le Village, ou on aurait pu se poser et papoter tranquillement. Mais on etait naifs : le samedi soir, c’est plutot tendance bar-boite rnb dans le Village… On n’est donc pas reste si longtemps que ca ensuite.
Dimanche, brunch chez Lua sur Hoboken, le fameux restaurant qui a un tres sympatique buffet chaud et froid, en plus d’une superbe vue sur Manhattan. Il etait 15 heures passees quand on est sorti de la, le ventre bien rempli et la mine joyeuse, pour aller faire quelques photos le long de la jetee en face de Midtown – oui je sais, il faut toujours que je mette mes photos en ligne, oui, oui, je vais essayer de le faire le plus vite possible !
L’apres-midi avec Angelique, on est alle betifier devant les chats et chiots d’un shelter a Hoboken – un “mobile shelter” c’est une sorte de bus reamenage qui sert de refuge ambulant, pour inciter les gens a adopter des petits boules de poil qui ronronnent. Un mignon petit chat gris pale me faisait de l’oeil derriere ses barreaux, mais Angelique n’a pas craque, malgre mon hacharnement…
Le soir, retour sur Manhattan dans un restaurant francais type brasserie chic, pour feter l’anniversaire de Celine, la encore, en comite francais !
La semaine de travail ? Just as usual, avec ses hauts et ses loooooooongues heures qu’on aimerait voir defiler plus vite !
Lundi soir tranquilou-bilou a la maison. Mardi soir a Hoboken, Girls Night In chez Bene avec Angelique et Pfff… C’est que le concept est agreable, se retrouver entre filles pour un petit diner. Avec en entrée du pate de campagne et du saucisson, suivis d’un poulet au curry – riz basmati – miam miam et de macarons en dessert. C’est que, oui, on finirait par y prendre gout !
Mercredi soir relache, et jeudi soir, soiree “Jeux” a Hoboken. En fait de soiree jeux, ca finit toujours par etre une petite reunion de franchouilles qui refont le monde autour de fraises Tagada ou Dragibus, mangent un peu de pizza, boivent du vin rouge. Et qui, accessoirement, jouent a un jeu de societe pour donner bonne allure a leur soiree !


Ce matin, en arrivant au bureau, je me suis loggee sur ENY et quelle ne fut pas ma surprise que de voir un message de Virginie sur le forum… qui se marie aujourd’hui !! Donc ce soir, resto pour celebrer l’amour, “au coin du feu” – c’est le nom du restaurant. C’est mimi, non ?


En attendant, la, je sors a peine de mon dejeuner. Avec une collegue de bureau, Christine (qui est americaine d'origine chinoise, comme son nom ne l'indique pas) on est alle baffrer des tartines "au pain quotidien" qui est un resto de tartines, chocolat et praline a tartiner... Pas tres serieux tout ca...
Ce week-end, si dimanche il fait beau, on va s'amuser comme des enfants a Six Flags, qui est un parc d'attractions avec des taaaaaaas de montagnes russes, yipiiiiiiiiiiieeeeeeee !!!!!

20 octobre 2005

Like Champagne for chocolate

Une tres belle revue du livre de Mireille Guiliano, French Women Don't Get Fat.

When I was 15, I studied in France, at the University of Strasbourg, for six weeks. On weekdays, my fellow American students and I ate lunch in the school cafeteria and discovered the wonders of braised rabbit and coq au vin, followed always by an apricot tart or napoleon (my first ever!) at the nearby patisserie. On weekends we toured the country by train, fortified by bread and (real!) cheese, along with copious amounts of cheap red wine. Already weight-obsessed, I was sure I'd put on at least 10 pounds. But when I stepped off the plane, the jaws of my waiting parents and my best friend literally dropped. It turns out I'd lost 10 pounds -- I'm not sure I've looked as good since.


Mireille Guiliano had quite a different teenage experience abroad. As an 18-year-old from a small town in eastern France, she spent a year as an exchange student in the well-to-do Boston suburb of Weston, Mass., where she discovered the distinctly American joys of bagels, brownies and chocolate chip cookies and gained 20 pounds. When her own parents met her ocean liner in Le Havre, they were as stunned as mine were, but for a different reason -- her father told her she looked like a sack of potatoes. ''I could not have imagined anything more hurtful,'' she writes. ''And to this day the sting has not been topped.''


Never fear -- Guiliano's story has a happy ending. After a few miserable months during which she gains more weight, cries herself to sleep and hurries past mirrors clothed in shapeless flannel shifts, her mother brings in the family doctor, a k a ''Dr. Miracle.'' He detoxes her with leek broth for a weekend, teaches her to become a master of both her ''willpower'' and her ''pleasures,'' and supplies her with recipes, including one for apple tart without the dough. She learns to love walking, finds her ''equilibrium'' and goes on to become C.E.O. of Clicquot Inc. and a director of Champagne Veuve Clicquot. Most remarkably, despite the fact that she dines out 300 times a year and enjoys two- and three-course meals for lunch and dinner every day -- always accompanied by a glass of Champagne -- she has remained thin.


Guiliano recommends Dr. Miracle's plan as the French way, but it is not unlike the advice that American nutritionists on Web sites and at spas and clinics across the country dispense every day. It is exactly the advice I got last year at Dallas's Cooper Clinic during my annual physical: if you want a glass of wine with dinner, don't eat the bread or skip the baked potato. Do some aerobic exercise; if you're over 40, lift weights. Keep a food diary and cut out the processed junk. Slowly changing your eating habits is far more effective than any crash diet. You don't have to deprive yourself if you learn to make trade-offs. And on and on.


Somehow, though, these sensible stratagems are more palatable coming from Guiliano, who was once fat herself, and who now happily lives in America, where she first fell victim to our bad habits. She knows we eat too fast in front of the TV or with newspaper in hand, while French women make a ritual out of every meal. She knows we eat portions that are too big and food that is too bland. French women, on the other hand, stress flavor and variety over quantity and, therefore, are more satisfied with less. (Bland food and too much of one kind, a big bowl of pasta for example, breeds boredom, which leads you to alleviate it by eating more.) She knows our tendency to gorge ourselves on Snickers bars rather than savoring a single piece of fine dark chocolate. French women eat slowly and ''with all five senses.''


Indeed, much is made of the superiority of French women in all things, from chewing to ''using the same scarf to create a different effect'' to ''preserving spark and mystery'' in long-term relationships. Apparently, they're even better at being happy -- ''the French woman understands intuitively that one does not laugh because one is happy; one is happy because one laughs.'' This gets a tad tiresome, but I forgive Guiliano her patriotic fervor and her endless aphorisms because she is on to something. After all, I lost 10 pounds by walking off my daily pastry and eating small portions of once exotic dishes (at the university cafeteria they never filled your plate). Also, who can blame her for branding? If a lot of what she dispenses is universally sound advice with a French label, she's smart to apply it. We may profess to despise her compatriots in all their arrogance, but secretly we still find Paris far sexier than South Beach.


I think our problem with the French has always been jealousy. We have an inferiority complex, at least stylewise. French women can do more with a scarf. We wish we had their innate chic, their effortless discipline, their easy appreciation of all things sensual -- their impossible thinness. When I begged my parents to send me abroad, it was not to, say, Germany that I wished to go. Desperate to be sophisticated, it was French that I wanted to learn, France that I wanted to know. (Now of course, I wish I'd studied the far more useful Spanish.) Despite all our achievements in what used to be the exclusively French provinces of fashion, food and wine, the real milestones for many of us remain our first Chanel suit, our first sip of Pétrus or Château d'Yquem, our first time at La Grenouille or La Tour d'Argent. And then there is the fact that while close to two-thirds of American adults are either obese or overweight, French women really don't get fat.


The reason behind that most enviable difference, says Guiliano, is that ''French women take pleasure in staying thin by eating well, while American women see it as a conflict and obsess over it.'' Put another way, ''French women typically think about good things to eat. American women typically worry about bad things to eat.'' She says she is constantly appalled that American cocktail parties are filled with chatter about diets, a subject that shouldn't be deemed proper conversation. She says eating in America has become ''controversial behavior'' and that our obsession with weight is growing into nothing less than a ''psychosis'' that she believes adds stress ''to our already stressful way of life,'' which is ''fast erasing the simple values of pleasure.''


She urges us to relax. Walk to the market, breathe in the fresh herbs, cook a good dinner, have a glass of wine or champagne (preferably Veuve Clicquot). Just sip it slowly (she makes hers last through a meal). She rejects the ''American rule'' of ''no pain, no gain'' and describes exercise machines as a ''vestige of Puritanism: instruments of public self-flagellation to make up for private sins of couch riding and overeating.'' By all means go to the gym if you really love it, she says. Otherwise take the stairs and pick up some weights in the privacy of your own home. She finds walking an indulgence that allows time for ''freedom of thought,'' and says French women walk an average of three times as much as American women do. She proudly reports that during the 2003 blackout she easily made it past the younger people in her building who were huffing and puffing on the stairs.


Sometimes these ''simple values'' seem perhaps too simple. Many of us need the discipline of the gym and don't have time to stroll to the open-air market (which probably doesn't exist where we live) or set a proper table twice a day. My own early lessons in the civilized life sadly didn't take. The summer I returned from France, a McDonald's opened in our town and a Big Mac suddenly seemed as exotic as a niçoise salad. I failed miserably at what Guiliano calls ''recasting,'' emphasizing quality over quantity in both meals and exercise.


But, armed with her book, I am willing to try again. There is no scientific ''food plan,'' just suggestions and seemingly indulgent recipes, including one for fingerling potatoes and caviar. Guiliano reminds us that a half-dozen oysters contain only 60 or 70 calories, that soups fill you up and supply much-needed water to your body (''The theory goes that the French, who eat soup up to five times a week for dinner, eat better and less.'') Her mother's ''soupe aux légumes'' is worth the price of the book alone, but I am less sure about her own ''Chicken au Champagne,'' which s you to pour a cup of champagne over some chicken breasts and then broil them. After tasting one, I can say with certainty that I'd rather have the Champagne in the glass and that I would definitely not serve the chicken to company along with, as she suggests, brown rice and mushrooms. I'm also not entirely sure about Dr. Miracle's apple ''tart'' with its cabbage leaf ''pastry'' (not for eating, necessarily, but ''for presentation''). Still, sans cabbage leaf, it's a good idea, and her snapper with almonds is good full stop, as is the delicious tagliatelle with lemon.


Guiliano ends the book with a list of more observations about French women. They don't weigh themselves, they don't snack all the time, they eat more fruit but would never give up their bread or other carbs. They dress to take out the garbage, they understand the importance of a good haircut and expensive perfume, they know love is slimming. Part of me wanted to throw the book across the room, while the other part was memorizing the list. I actually found myself resolving to learn to eat with all five senses -- or at least to try to turn off ''All My Children'' during lunch breaks. I did not even throw up when I got to the line that encouraged me to savor ''all the little things that make each day a miracle,'' so that I may not need a shot of Scotch (French women don't drink hard liquor) or a quart of Haagen-Dazs to get me over the top. At the very least, we would all do ourselves a favor to make like Colette, for whom the table was ''a date with love and friendship '' instead of the root of all evil.
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Julia Reed is senior writer for Vogue and author of ''Queen of the Turtle Derby and Other Southern Phenomena.

18 octobre 2005

Le "Google Bombing"


Le phénomène repose sur l’algorithme utilisé par Google pour sélectionner et classer les sites dans son index, en réponse aux requêtes des internautes. L’importance d’un site y est jugée en fonction du nombre de liens hypertextes qui pointent vers ce site sur internet. C’est le principe du Page Rank de Google.
Au delà de ce simple critère mathématique, le texte des liens pointant vers un site est pris en compte par Google pour déterminer de quel sujet il traite.
Le Google bombing exploite les faiblesses de cette pierre angulaire de l’algorithme de Google. Il suffit en effet à quelques webmasters motivés de mettre en place le même lien, avec le même texte, vers le site de leur victime sur leurs pages web pour que l’effet recherché soit atteint quelques semaines plus tard: le site de la victime sort en première position dans Google sur les mots-clés choisis...

Je vous donne un exemple : Nicolas Sarkozy, en pointant son nom sur Iznogood on fait sortir la vidéo Iznogood (bande dessinée) en premier sur Google (google.fr et en deuxième sur google.com)...
Mouarf mouarf mouarf....
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Sources :http://www.actulab.com/google-bombing.php
et http://blogandbug.blogspot.com/

17 octobre 2005

Stickers in NYC

Post écrit par un copain et que je reprends, parce que très bien fait. Merci Fred-euh !

"god bless america"... "we will never forget 9/11"... "power of pride"... le tout surmontant un aigle qui arbore la bannière étoilée. Tout ceci vous parait familier. Et ça vous parait même anodin et très agaçant. Savez-vous tout ce que cela cache ? Imaginez-vous tout ce qu'il a là dessous ? Croyez moi vous êtes loin du compte...

Un matin, ou comme d'habitude je suis a moitié réveillé, je prends ma voiture pour aller gagner ma paystub afin de pouvoir me nourrir d'un hamburger (il faut bien survivre) ! J'arrive au premier feu rouge et, devant moi, une mazda RX-3 toute noire. Malgré mon coma matinal je remarque un gros autocollant blanc avec dessus : "power of pride" et un drapeau américain flottant. Je me dis : " d'où sort cet énergumène ? ", j’imagine que ce doit être un cas isole et je n'y prête plus attention. Je poursuis la route, arrive au deuxième carrefour et la, devant moi, sur deux files se trouvent, une Honda Accord et un Ford Expedition. La première: "I will never forget 9/11" et la deuxième: "my son is a GI and I'm proud of it". Sortant de plus en plus de mon coma je soliloque : "Mais qu'est ce que c'est que ce travail". Poursuivant mon chemin je commence à "lire" les pare-chocs des voitures (SUV pour la plupart). Et constate qu'une majorité partie possède un autocollant "god bless america". Quelquefois se distingue le fameux "bold eagle", ou le drapeau, ou même les deux et parfois un aigle aux couleurs nationales. Je me dis que j'ai tout vu et que ça ne peut pas aller plus loin. Je ne sais pas encore que j'ai tort ; ce n’est que le commencement...

Le lendemain matin je reprends mon automobile motorisée pour aller travailler à la sueur du front de mon IBM et je joue au jeu des autocollants de pare-chocs. Tiens un nouveau ! : "My son has been honored at Hillsborough high school". Mais jusqu'ou ça ira ? Je continue et note un : "My son beats up your honored one"... Stupéfaction ! Mais sur quoi suis-je tombe ? Je commence à comprendre et prends peur. Je viens de me rendre compte que je suis en passe de devenir le témoin d'une guerre au plein cœur des USA. The "bumper sticker war"... Je n'en ai pas encore conscience de toute son ampleur... Toutefois, deux camps se dessinent : les gros bœufs ayant abusé de la vache folle vs ceux qui en ont marre de leurs déballages de monstruosités intellectuelles.

Le surlendemain, je suis excite à l'idée d'aller au labeur afin de voir une foison de scènes de bataille d'autocollants sur les highways, speedways et autres ways. Je constate que pas mal de voitures portent un symbole représentant un poisson. Ce symbole me parait familier. Une crise d'intelligence et je comprends : les chrétiens à tendance beauf et iconoclastes arborent fièrement le symbole de Jésus sur leur voiture... Mais jusqu'ou iront-ils ?! Je continue ma route, un peu dépité, et de loin je vois une VW jetta arrêtée au feu avec le fameux poisson. Je pouffe et je me demande s'ils n’en ont pas marre d'être stupides. Je me rapproche et constate que le dit poisson possède 4 papattes et que Darwin est inscrit à l'intérieur... La guerre fait rage ! Tout en continuant mes trajets je note qu'il y a aussi des poissons mentionnant Jésus, un gros poisson (nomme Darwin) qui mange le petit (nomme Jésus) etc.

Quelle guerre passionnante ! Elle rend mes trajets, mes bouchons et mes voyages intra-USA un peu plus agréables. Vous voulez que je vous conte d'autres histoires de batailles sur les intersates... Tststst prenez une voiture et allez à leurs découvertes. La surprise n'en sera que plus forte.

P.S. Je n’ai rien du tout contre les chrétiens (l’étant moi même) j’en ai juste à l’encontre de ceux qui ne sont pas très malin et qui en sont fiers…
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Note : voici les poissons dont parlait Arnulfe



15 octobre 2005

Delis et delicatessen a New York

Le deli est un grand classique de la cuisine newyorkaise depuis la grande vague d'immigration juive au début du 20e siècle. L'un des plus célèbres est le Carnegie Deli, proche de la prestigieuse salle de concerts qu'est le Carnegie Hall.
Un autre deli, au 205 East Houston Street, est Katz's Delicatessen. Le plus ancien de New York, et le plus grand, il ouvrit ses portes en 1888. Et... oui, oui, vous avez parfaitement raison, une célèbre scène du film Quand Harry rencontre Sally, avec Meg Ryan et Billy Crystal, y fut tournée.

Le veritable deli est une institution new-yorkaise à laquelle il faut absolument goûter.. C'est la cuisine juive traditionnelle d'Europe centrale, avec ses multiples nuances suivant le pays d'origine (polonaise, ukrainienne, roumaine, etc.). La, il faudra goûtez le pastrami sandwich, celui au corned-beef ou à la dinde, servis sur du pain au cumin avec le cornichon aigre-doux et le sempiternel petit pot en carton de coleslaw (salade de chou cru). Perso le cornichon aigre-doux est énorme et n'a pas tellement de goût, donc bof, mais c'est une question d'habitude.
À ne pas confondre avec les delis qui désignent les épiceries rencontrées à tous les coins de rue Les “delis” la regorgent dans les quartiers centraux de Manhattan, les plus peuplés durant la journée. Ce sont des salad-bars, selfs-services - épiceries, souvent improprement appelés Delis, qui proposent, à l'heure du déjeuner, un impressionnant buffet chaud et froid, de salades, légumes, viandes, poissons...
On se sert dans un récipient en plastique pour emporter, ou dans une assiette pour déjeuner sur place, sur l'une des quelques tables de l'établissement. Au passage en caisse, votre plat est pesé, et facturé à la livre, généralement entre 4 et 5 $. Evidemment quand tous les midis on échoue au déli, cela perd de son charme, mais c'est amusant les premières fois !

14 octobre 2005

Fall Foliage, pluie pluie pluie.

C’est deja vendredi ?!?!?
Il faut avouer que le week-end a ete fort agreablement long puisqu’on a profite de “Columbus Day” lundi dernier, pour aller passer trois jours, avec Thomas, dans le Berkshire et le Sud du Vermont. (quand j’aurai du courage et une connexion internet au meme endroit que ma cle USB, promis, je mettrai les photos en ligne). Samedi, nous avons ete en train jusqu’a Passaic (trente minutes depuis Hoboken) parce que Monsieur Hertz le loueur de voitures il y faisait des prix tres sympatiques, bien mieux que dans le coin de Manhattan en tout cas… Et ensuite on a roule sous la pluie, pendant ce qui m’a semble durer des heures… C’est tres joli, le “Fall foliage”, dans les tons rouges, oranges et jaunes. Je suis sure que c’est encore mieux avec le ciel bleu ! Du coup samedi après midi, on s’est refugie au Musee de Norman Rockwell, a cote de Stockbridge. Des peintures comme ca :


Et il y avait aussi une retrospective de premieres de couverture du New Yorker. Avec entre autres toute la serie des couvertures durant ma campagne electorale de 2004 et des couvertures realisees par Sempé !
Dimanche et lundi, chance, il a arête de flotter. Mais il faisait toujours gris. Alors on a continue nos “scenic roads” jusqu’a Manchester, Vermont. On s’est fait une petite marche jusqu’a un sommet sous la brume dans le Vermont, et le lundi jusqu’a une petite montagne dans le Nord du Massachusetts.


Puis, comme toutes les bonnes choses ont une fin, on est rentre a Hoboken, via le Washington Bridge et Passaic – pour rendre la voiture a Monsieur Hertz.
Mardi soir, les French Tuesdays organisaient le lancement de la Cuvee Grand Siecle, derniere version, de chez Laurent Perrier, aux Splashlight Studios. Une immense salle toute blanche, decoree d’arums blancs dans de tres hauts vases. D’abord un orchestre de salon, un peu jazzy, avant d’attaquer sur les standards dansants des soirees d’un bout a l’autre de la planete, on se rend compte qu’on ecoute la meme chose…
Sinon, pour la semaine, c’est surtout les joies de la pluie qui ont domine… racontees ici et la pour le plaisir de tous ceux qui ont garde les pieds au sec cette semaine. Ce matin, le carrefour de ma rue etait encore sous l’eau… Un vrai “bonheur” !
A part ca, ce soir c’est cinema, a priori, a Jersey City. Affaire a suivre… en parapluie :)

N'oubliez pas le tip !

Kesako ?
Dans les restaurants, il convient de laisser un pourboire (tip). Ce pourboire s'évalue entre 15 et 20% du montant de l'addition. Si vous réglez par carte de crédit, indiquez dans la case située à cet effet le montant du pourboire que vous souhaitez laisser.
N'oubliez pas le tip... A défaut, le caissier risquerait de remplir cette case lui-même au tarif appliquable.

C'est à vous de faire le calcul. Un système simple : tip = taxe x 2 dans l'Etat de New York !

A savoir : les Français n'ont pas une grande réputation de générosité au moment de payer l'addition! Sachez remercier par un tip convenable, surtout si le service a été efficace et souriant...
Par contre si le service a vraiment ete excecrable, ne pas oublier le tip non plus. Mais laisser 25 cents, pour bien faire comprendre qu'on a bien pense au tip, mais qu'on n'etait pas content !

13 octobre 2005

La pluie a New York, part II


Hier soir en sortant du bureau j’ai decide d’investir dans des bottes. Je n’ai pas reussi a faire ridicule : j’ai prefere des bottes en cuir plutot que du caoutchou rose avec des poussins dessus… C’est que j’ai un standard a tenir, tout de meme.

Forte de cet achat utile que j’ai mis aux pieds de suite en sortant de la boutique, j’ai repris le path train dans mon tee-shirt pas encore tout a fait sec mais les pieds heureux. C’est fou comme nos pieds peuvent renvoyer au second plan tous les autres soucis de la vie. Je n’irais pas jusqu’a dire que je gambadais, mais presque. (d’ailleurs j’aimerais bien savoir si je suis la seule a avoir la desagreable impression que mes chaussettes degringolent toutes seules a l’interieur des bottes quand j’en porte parce que ca m’intrigue vraiment).

Je m’accorchai a mon parapluie en arrivant a Hoboken , pour ne pas tourner Marie Poppins II ni me faire arracher les baleines de l’engin. C’est qu’il faut qu’il serve encore, le petiot. Tout allait relativement bien – j’etais encore sur le sol, les pieds au sec, grelottant un peu – quand j’ai atteint ma rue. C’est quand je me suis retrouvee a un bloc et demi de mon chez moi que ca s’est vraiment gate : ce n’etait plus une rue, c’etait une riviere. Avec les voitures qui osaient encore passer, en laissant derriere elles un sillage de hors-bord. Maintenant je comprends pourquoi les gens ici ont des SUV. On se serait cru en Camargue, ou dans un mauvais film de science fiction avec des voitures-amphibie et les courageux pietons qui retiraient leurs chaussures et roulaient le bas de leur pantalon pour passer quand meme.

Moi ? Courageuse mais pas temeraire, j’ai tourne autour du bloc pour atteindre la porte par l’autre cote. Il y avait environ 5 cm d’eau devant la porte de l’immeuble (le brave architecte a pense a faire une petite marche qui etait au sec), deux pas dans l’eau, mes chaussures et moi avons survecu.

J’etais tellement estomaquee que je suis redescendue ensuite avec mon appareil photo numerique pour immortaliser l’instant-deluge sur photo et video !

Je me demande si les Etats-Unis sont le seul pays cense etre developpe, a n’avoir pas une DDE digne de ce nom, et qui mettrait en place un systeme d’evacuation des eaux efficace.

Quand on me parle de la pluie a Paris, ca me fait doucement rigoler, maintenant…

12 octobre 2005

Il pleut dans mes chaussures comme il pleut sur la ville

La cote Nord Est des Etats-Unis est connue pour “recuperer” la queue des ouragans et autres tempetes qui font rage du cote de la Floride ou de la Louisiane. Apres la derniere vague, on a donc subi vendredi soir et samedi des trombes d’eau dignes de l’appellation “deluge”. Guilhem, a Hoboken, a meme vu sa voiture se remplir d’eau… La voiture etait garee gentiment le long d’un trottoir, mais comme la DDE dans cette contree est inexistante ou presque, 40 centimetres de flotte sur la chaussee ont eu raison de l’etancheite d’une Ford POS.

Ce matin, j’ai ete reveillee par le doux bruit de la pluie sur les carreaux. Ca augurait deja une journee interessante…
Lorsque j’ai regarde par la fenetre après avoir emerge, j’ai confirme dans ma petite tete que j’aurais mieux fait de debrancher le reveil et d’ignorer le fait que je suis censee travailler.
Lorsque je suis sortie de l’immeuble, j’ai ouvert mon parapluie en me felicitant d’avoir des chaussures impermeables et seulement 10 minutes de marche a l’air libre avant de m’engouffrer dans le metro et d’atteindre le bureau.
Lorsque j’ai mis mon pied droit dans ma premiere vraie grande flaque d’eau et que ma chaussure s’est mise a faire flotch flotch parce qu’il y avait de l’eau DEDANS je me suis dit que ca allait etre une journee de m….
En fait, l’eau passait par dessus mes chaussures tellement les flaques etaient profondes, et comme de toute facon toute l’eau qui ne venait pas des flaques ruisselait directement depuis mon pantalon la encore vers l’interieur de mes chaussures, c’etait le bonheur absolu.
Ce qui est sympa avec des chaussures impermeables, c’est que l’eau ne rentre pas dedans. Ce qui est moins sympa avec des chaussures impermeables, c’est qu’une fois que l’eau est dedans elle ne ressort plus.

Le metro etait interessant egalement : a la station de Times Square, sur le quai des lignes N / Q / R / W (lignes jaunes), il PLEUVAIT dans les couloirs du metro. Oui, oui, vous avez bien lu : l’eau s’etait visiblement inflitree et il pleuvait sur le quai qui est bien souterrain.

J’ai atteint le bureau a grand renfort de chouic chouic sur le sol en marbre de l’entrée et j’ai enfile une paire de tongs qu’on est en train de developper pour un client. C’est bien d’avoir des echantillons de production… J’ai aussi pu enfiler un pull over sec (parce que malgre le parapluie et ma veste j’avais la moitie du bras et du dos trempe, allez comprendre). Je compte dire a la compagnie qu’ils feraient bien de developper aussi des pantalons au lieu de ne faire que des sacs a mains a part ca… Parce que j’ai encore un peu froid, la…

La climatisation me seche et me transforme en glacon en meme temps… Prochain billet sur la grippe, a ce train la !
Note : Je me demande si je ne vais pas investir dans un truc moche mais utile : des bottes en caoutchou... Avant je trouvais ca hideux quand je voyais des nanas avec dans le metro, maintenant je reconsidere serieusement la question...

11 octobre 2005

Dodge Ball, la balle au prisonnier

J'ai regarde la semaine derniere un film epoustoufflant de scenario (euh...) pour legumiser mes neurones devant la television: Dodgeball. En francais dans le texte, c'est tout de suite moins glamour, ca se dit "Balle aux prisonniers".
Et la, j'ai appris qu'aux Etats-Unis, il existait depuis 1996 une federation internationale de Dodge Ball, et un championnat...
Si on m'avait dit ca quand j'etais petiote, je n'y aurais meme pas cru !

The International Dodge Ball Federation (IDBF) was founded by Rusty Walker of Gulfport, MS in 1996 and had a web presence in 1997. The Federation actually began as a way to make the children Rusty played dodge ball with feel as though the game was a real sport instead of a schoolyard pastime. Within weeks of putting up the website, emails from around the world began arriving daily asking where to play and expressing interest in becoming members of the IDBF. Within months the IDBF became a 'real' organization and began sanctioning tournament play around the world.
Around 1998, the IDBF formed rules and equipment committees to find better safer ways to play the sport. Hundreds of balls were examined and a ball was specified for play. The ball used for play is very light (about 7 oz), about 8 inches in diameter, has a butyl bladder, is inflated with very low pressure (2 lbs) and is covered with a fabric to avoid stinging.
The IDBF rules committee was tasked with taking the hundreds of different ways that people played the schoolyard game and boiling them down into a sport with a very concise set of rules that 1) was safe and 2) was quantifiable- (meaning it had to be able to be officiated with a high degree of accuracy). It was necessary to do that to re-introduce this 'revised' version of the game/sport back to schools and the public.
In 2003, the IDBF incorporated and hired a full time executive director tasked with league development. The IDBF has dodge ball federations in several countries and state organizations in about a third of all US states. Currently, the IDBF is well on it's way of having organizations in all 50 states by the end of 2005 and a projected 300,000 sanctioned players by the end of 2007.


Children make up the largest group of IDBF play but Adults aged 25-35 are the largest and hottest growth segment in 2004.
Also known by war ball, prison ball, or chain ball- dodge ball is played in some variation in almost every country. Japanese students play dodge ball almost daily at school.
The IDBF receives over 800 emails a day. Yes, we answer ALL of them.
The IDBF has most recently welcomed the new Pakistan Dodge Ball Federation as a member organization and is announcing this week the formation of and association with the new Australian Dodge Ball Federation as well as a Puerto Rico Organization.
The DodgeBall movie director looked at all kinds of dodge balls but settled on the old schoolyard red rubber ball because it seemed to be more 'violent'. The IDBF agrees it's more violent- we strictly forbid its use by member organizations.
The umpire in the movie DodgeBall was Al Kaplon, a retired major league baseball umpire. The IDBF has an official umpire training and sanctioning program.

Spellbound sur FireFox

On vous l'a dit, vous l'avez déjà entendu, Firefox est un navigateur Internet intéressant.
Il faut dire que la dernière version de IE (Internet Explorer) date d'une époque ou les téléphones portable n'avaient pas la couleur.
Et ou les connections Broadband (Adsl/câble) étaient réservé à une élite, et où le président des États Unis était Bill Clinton dans son premier mandat !
L'intérêt de Firefox, outre le fait d'être un bon navigateur offrant la possibilité de naviguer avec des tabulations, réside essentiellement dans la possibilité d'ajouter des plug-in.
Je vais simplement aborder l'installation d'un plug-in:
Le correcteur orthographique pour le web (utilisable avec votre navigateur a chaque fois que vous écrivez du texte sur un site web (dans un form (formulaire) (comme par exemple un forum, une demande de renseignent, une demande d'emploi...))
Son petit nom : Spellbound
Firefox installé (http://www.mozilla.org/products/firefox/) vous pouvez vous rendre sur http://spellbound.sourceforge.net/install

1. Cliquez négligemment sur le bouton install et le plugin va s'installer après une demande de confirmation. (sur ce je vous recommande de fermer votre navigateur et de le relancer)

2.Ensuite rendez vous sur :  http://dictionaries.mozdev.org/installation.html et cliquez sur les langues qui vous intéressent (ie: English (USA), French... Maori ... 46 langues disponibles du catalan au zulu (Assibooonnnanggga... ))

3. fermez votre navigateur, redémarrez.

Et voilà. Maintenant dans chaque case (form) web ou vous pouvez entrer du texte il vous suffit de faire un clic droit et dans le menu sélectionner "check spelling" (vous avez la possibilité de choisir la langue de refaire un check etc ...) 

Une petite liste non exhaustive de logiciels gratuits blogandbug.blogspot.com.

10 octobre 2005

L'Origine du "Vermont"

En 1609 le francais Samuel de Champlain pose le pied sur les terres qui sont aujourd'hui connues sous le nom de Vermont, et, grand naif qu'il devait etre, s'exclame "Oh ! Les Verts Monts".
Bien des annes plus tard, les americains decident, dans un grand elan d'originalite, de donner ce nom a l'Etat.

Et pour etre moins bete : (source)
Le Vermont est un petit État agricole de 24 900 km² faisant partie de la Nouvelle-Angleterre avec le Maine, le New Hampshire, le Massachusetts, Rhode Island et le Connecticut. Le Vermont est situé à la frontière du Québec et sa capitale est Montpelier (ouioui, un seul "L"). C'est le 45e État américain de par sa superficie. L'origine du mot Vermont provient de deux mots français «vert» et «mont» signifiant «montagne verte».

En 1990, cet État ne comptait qu'une population de 521 000 habitants, contre 608 827 en 2000, dont à peine plus de 30 000 disent parler une autre langue que l'anglais. Quelque 2,5 % des Vermontois parlent le français comme langue maternelle.

9 octobre 2005

10 food you should never eat


Quaker 100% Natural Oats & Honey Granola. Does Mother Nature want you eating half a cup of oats coated with three teaspoons of sugar and laden with more artery-clogging fat than you’d get in a McDonald’s hamburger? No doubt she’d prefer you eat low-fat, low-sugar, whole grain or bran cereals like Grape-Nuts, Wheaties, Kellogg’s All-Bran, Post 100% Bran, shredded wheat, oatmeal, or Wheatena. If you’re stuck on granola (and sugar), at least choose a product like Healthy Choice Low Fat Granola, Nature Valley Low Fat Fruit Granola, or Quaker 100% Natural Low Fat Granola with Raisins.
Bugles What’s so bad about Bugles? The highly saturated coconut oil that General Mills fries them in —oil that’s about twice as saturated as lard. (Chips are usually fried in corn, soy, or canola oils.) One serving (just over a cup) of these fried wonders will give you 40% of your daily limit of saturated fat. If you’re looking for a low-fat snack, give Baked Bugles a shot, or try baked low-fat tortilla chips made by Tostitos or Guiltless Gourmet.

Buitoni Contadina Alfredo Sauce. Why not melt a third of a stick of butter on your pasta? You might as well if you fall for Contadina’s refrigerated Alfredo. On the other hand, you could choose Classico Spicy Red Pepper, Tomato & Basil, Fire-Roasted Tomato & Garlic, or any sauces from Healthy Choice or Ragú Light instead. All are lower in everything but taste.

Pizza Hut's Big New Yorker Pizza. Pizza Hut brags that The Big New Yorker plain cheese pizza weighs about three pounds before baking. But when it comes to pizza, bigger isn’t better. Even if you split this monster with three other people, your two slices will end up with almost a full day’s saturated fat (17 grams) and sodium (2,200 mg), and 790 calories. That’s without sausage, pepperoni, or anything else. Down an entire Healthy Choice Supreme French Bread Pizza, on the other hand, and you’ll get only 1.5 grams of saturated fat, 580 mg of sodium, and 330 calories.

Entenmann's Rich Frosted Donut (Variety Pack size). How can one doughnut have as much artery-clogging saturated and trans fat (10 grams) as nine strips of bacon? That’s what happens when you completely cover a doughnut in chocolate. Try Entenmann’s Light Donuts instead. With anywhere from six to nine grams of fat per doughnut (no more than three of them saturated), they’re not health foods. But if you’ve got to have a doughnut, they’re a lot better than the regular version.

Nissin Cup Noodles with Shrimp. What could be wrong with a cup of steaming-hot noodles? Well, because the noodles are pre-fried in artery-clogging palm oil, a serving of this soup looks like one-and-a-half cups of whole milk to your arteries. Try Fantastic Foods Chicken Free Ramen Noodles instead.

Burger King French Fries. Burger King makes some of the worst french fries you can buy at a fast-food restaurant. Thanks to the salty coating that allows more oil to be absorbed, a King Size order of their fries packs 590 calories and 30 grams of fat — 12 of them artery-clogging. That’s worse than McDonald’s Super Size Fries — and more than half the “bad” fat you should get in an entire day.

Campbell's red-and-white-label condensed soups. They’re brimming with salt. Half a can averages more than 1,100 mg of sodium. That’s about half your ideal quota for an entire day. Try brands like Healthy Choice and Campbell’s Healthy Request, which have less than half as much sodium as Campbell’s regular soups. You can also check out lower-sodium dried soup cups by Fantastic Foods or Health Valley.  
Frito-Lay's Wow! Potato Chips. These chips, like Fat Free Pringles, are fried in Olean (olestra), the indigestible fat substitute. Olean doesn’t provide any calories, but in many people causes gastrointestinal symptoms — some people have said they suffered such severe cramps or diarrhea that they had to go to the emergency room. Olean also prevents the body’s absorption of carotenoids. These products won’t do much to help you lose weight or reduce your risk of heart attack, but might cause you a lot of misery. Instead buy baked potato or tortilla chips.

Denny's Grand Slam. This belt-buster breakfast (2 eggs, 2 sausage links, 2 strips of bacon, and 2 pancakes) may seem like a great deal to your wallet, but it’s no bargain for your waistline or arteries. It’ll sock you with three-quarters of a day’s total fat (50 grams) and saturated fat (14 grams), nearly a full day’s sodium (2,240 mg), and one-and-a-half day’s cholesterol (460 mg) — not to mention 800 calories. If you’re craving a hearty breakfast, try Denny’s Slim Slam instead. It slashes the calories to 600, the fat to 12 grams, the saturated fat to 3 grams, and the cholesterol to a mere 35 mg.
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Source : Nutrition Action Health Center http://www.cspinet.org/nah/

8 octobre 2005

Je blogue, tu blogues, il blogue...

L’Office québécois de la langue française avait considérablement étoffé ses notes sur l’article “blogue”.

Le blogue, qui est créé et animé généralement par une seule personne, mais qui peut aussi être écrit par plusieurs auteurs, se caractérise par sa facilité de publication, sa grande liberté éditoriale et sa capacité d’interaction avec le lectorat.
Dans les blogues, auxquels on peut contribuer et apporter son point de vue, on publie des billets (courts textes) ou des articles (textes plus longs) dont le contenu et la forme, très libres, restent à l’entière discrétion des auteurs. Ils sont parfois accompagnés de liens externes, de photos, de dessins ou de sons. Les visiteurs ont généralement la possibilité de laisser un commentaire ou de compléter l’information. On y trouve souvent des liens qui renvoient ceux-ci vers d’autres sites, soit vers des blogues amis ou des sites de référence choisis.
Dans la définition, l’adjectif antéchronologique veut dire que les textes du blogue sont classés par ordre chronologique inverse, c’est-à-dire que le plus récent texte publié apparaît toujours en premier, en haut de la page d’accueil.
Le terme blogue, forme francisée de blog, a été proposé par l’Office québécois de la langue française (octobre 2000) sur le modèle de bogue, pour remplacer les termes anglais weblog (de web et log « journal, carnet ») et blog, très employés en français. Le mot blogue a permis la création de plusieurs dérivés, dont bloguer, blogueur et blogage, qui sont de plus en plus répandus.
Bien qu’elle soit souvent utilisée par des francophones, la graphie blog (emprunt intégral à l’anglais), qui est mal adaptée sur le plan graphique (le suffixe -og n’existe pas naturellement en français), n’a pas été retenue et est déconseillée en français.
Les termes journal Web et webjournal, parfois utilisés comme équivalents français de blog, n’ont pas été retenus pour désigner cette notion. En effet, comme ils désignent déjà un journal publié sur le Web par une organisation, leur utilisation pourrait porter à confusion.
Bien qu’amusant, le mot-valise joueb (contraction de journal et de Web) n’a pas été retenu en raison d’une concurrence inutile avec blogue et de son lien avec journal Web, terme non retenu pour la présente notion.
En France, le terme bloc-notes et sa forme abrégée bloc ont été adoptés, le 20 mai 2005, par la Commission générale de terminologie et de néologie comme équivalents français de blog. En raison de leur manque de précision, de leur inaptitude à produire des dérivés adéquats et d’une concurrence inutile avec le terme blogue, déjà utilisé par un grand nombre de francophones, ces deux termes n’ont pas été retenus pour désigner la présente notion. De plus, le terme bloc-notes (ou ordinateur bloc-notes) est déjà utilisé en informatique pour traduire notebook (ou notebook computer) et désigne un petit ordinateur portatif dont les dimensions s’apparentent à celles d’une feuille de papier A4. Bloc-notes (notepad en anglais) est aussi le nom d’un accessoire de Windows, un traitement de texte élémentaire avec lequel on peut créer des documents simples. Il y a là risque de confusion.
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Source : Notes de l’article “blogue” du Grand dictionnaire terminologique de l’Office québécois de la langue française.

7 octobre 2005

Le tourbillon de New York, vernissage et sorties

En ce moment j’ai l’impression d’etre prise dans le tourbillon de New York et de ne pas voir le temps passer…
Le week-end dernier, finalement, eh bien on est reste a NYC. Parce que bien qu’ayant passé la quasi totalite de mon vendredi après-midi pendue au telephone pour essayer de joindre le camp des Poconos pour savoir s’il leur rester de quoi loger les extras (rien que 5 personnes en fait), j’ai fait chou blanc. Groumpf. Mais en fait, je n’etais pas si decue que cela. Et quand j’ai vu hier soir le bleu qu’une des filles qui est partie avait, je me suis dit qu’en fait, c’etait pas vraiment la fin du monde de ne pas y etre allee !
Au final, le samedi a ete jour d’intendance – lessive, courses…. – puis une petite promenade le long de l’Hudson a Hoboken, avant de diner au Madison, un steak-house & Grill sur Hoboken qui fait aussi bar et ou on est reste danser un peu jusqu’a minuit et des bricoles en compagnie d’Angelique.
Dimanche après-midi (oui parce que bon, le dimanche matin, rien de passionnant, c’etait dodo, alors…) avec Thomas on est alle au zoo du Bronx. Mis a part le bloc qu’on marche entre la sortie du metro et l’entrée du zoo ou on a vraiment la sensation d’etre des touristes pas du tout a notre place, on rentre ensuite dans un univers americain a la Walt Disney ou tout est tellement bien fleche que pour se perdre il faut le faire expres. Belle “collection” d’oiseaux exotiques, des petits pandas rouges et des leopards des neiges tout mimis… et puis une superbe panthere noire qui avait l’air de s’ennuyer a regarder passer des proies innaccessibles de l’autre cote de la vitre (nous ?).
Lundi Thomas m’a encore abandonee (et jusqu’a jeudi soir) pour aller faire le zouave a Toronto puis Columbus (Dans l’Ohio. Je precise, parce que vu la taille de la ville… enfin bref.). Lundi soir je suis donc allee a un vernissage dans Chinatown, de Virginie Sommet, une artiste francaise installee a New York, qui fait des sculptures et des installations. C’est tres original, tres special. Certaines pieces m’ont beaucoup plu, d’autres m’ont laissee un peu plus perplexe.
Mardi, c’etait “Girl’s Night Out” avec des amies a Hoboken, chez Angelique. Enfin, c’etait surtout une soiree filles en interieur, parce que vu qu’Angelique avait mitonne pour nous, on n’avait plus tant que ca envie de sortir après la galette bretonne…
Mercredi glandouille, tannee sur le canapé devant les Triplettes de Belleville, j’ai eu du mal a accorcher avec le film au depart, je me disais “ca y est, ils vont parler, ils vont parler” et en fait non, toujours pas. J’ai trouve le graphisme interessant et la “BelleVille” etonnament proche de la realite new yorkaise !
Jeudi soir, diner “Au coin du feu”, c’est le nom d’un nouveau restaurant francais qui vient d’ouvrir sur Lafayette Street, un magret de canard avec sauce au café, poire et miel, miam miam, et, pour une fois, pas trop cher pour Manhattan.
A part ca, une semaine de travail assez calme. Pour ce soir, rien de fixe encore.
Pour ce week-end, une escapade dans le Berkshire et le sud du Vermont pour voir le “Fall Foliage”… Pour profiter de l’ete indien, quoi ;)

6 octobre 2005

You're not Jewish ?

Le jour du Nouvel An juif, une de mes collègues de bureau m’a demandé ce que je faisais là. Euh, eh bien, comment dire… je viens travailler comme tous les matins. J’ai bon ?

Ah bon, me réplique t-elle ? (c’est une blonde qui s’ignore) Mais tu n’es pas juive ?

Et moi : euh non, nonon.

Elle : Ah ben j’étais persuadée. Mais tu es quoi ?

Moi : chrétienne de culture et d’éducation, rien de plus

Là, elle m’a trouvée très bizarre et s’est replongée dans ses dossiers en me jetant de temps en temps des coups d’œil presque apeurés. On n’est pas sorti de l’auberge…

5 octobre 2005

Ford POS

A tous les amoureux des promenades en calèche, passez cet article parce que je vais casser le mythe...Les calèches qui stationnent à l'entrée de Central Park et vous proposent, pour une somme plus ou moins raisonnable une promenade "bucolique" dans le poumon vert de la ville.
Ohhhh c'est romantique....
Euh... Oui c'est sûr qu'à la télé ou au ciné c'est hyper romantique... Mais comment dire ? Ca l'est un tout petit peu moins quand on a la quatrième dimension dans le package : l'odeur.
A l'entrée du parc sur la 60ème rue (Central Park South), là où les calèches stationnent en attendant les touristes, les chevaux ne font pas que piaffer...
Et la ville a beau visiblement javéliser l'ensemble de temps en temps, l'odeur persiste, âcre, douceâtre, nauséabonde. Vous y penserez la prochaine fois que vous irez au cinéma !

4 octobre 2005

New York City, capitale du bruit

Explication en une petite liste non exhaustive… et un tout petit peu exagérée peut-être, mais on est Français ou on ne l’est pas.

(Evidemment on retrouve la majorité de ces nuisances dans toutes les villes du monde, mais bon, là on parle de New York, alors hein, ça va)

1.Les sirènes des camions de pompiers. La journée c’est amusant, surtout quand on vient d’arriver, parce qu’on regarde les camions avec admiration. Ensuite, et spécialement la nuit, c’est plutôt énervant.

2.Les sirènes des ambulances. Au milieu des embouteillages, on a une pensée émue pour le passager en pas très bon état, et à qui en plus on inflige de devenir sourd dans l’ambulance.

3.Les sirènes des policiers. Même topo. A se demander si les joyeux drilles n’en profitent pas un tout petit peu pour aller plus vite au Mac Do du coin.

4.La voisine du dessus. Elle s’obstine à marcher en stilettos au saut du lit vers 6h.

5.Mais bon, c’est peut-être la scierie qui est à côté et dont les ouvriers aiment couvrir le bruit par leurs injures, qui la réveille si tôt ?

6.Le métro qui freine en un cri strident, métal contre métal, me fait crisser les dents.

7.Je ne comprends pas pourquoi les trains qui se croisent, même à 4 heures du matin, se klaxonnent joyeusement . Ou alors c’est juste pour m’embêter parce qu’ils savent que je dors.

8.Les sorties de tunnels à Manhattan, et tous ceux qui, en sortant, changent hargneusement de vitesse.

9.Les gros camions qui changent de vitesse, on croirait une meute de grizzlis en train de groumpfer. (et en plus ils puent, les camions)

10.Les éboueurs qui hurlent, changent de vitesse, klaxonnent, font marche arrière à force de bip bip désobligeants au milieu de ma nuit.

11.L’ascenseur qui lui aussi fait gdouing gdouing en arrivant à tous les étages. Là encore, même quand je n’ai pas la tête du lit contre la cage de l’ascenseur, le son me parvient au cerveau. (Cer-quoi ? Oui bon ben ça va, hein.)

12.La climatisation et le frigo qui se remettent en marche juste au moment où le héros du film a décidé de murmurer quelque chose de super important pour comprendre la suite du film.

13.Toutes les omaillegodes qui me percent le tympan de leur voix enjouée, certes, mais suraiguë.

14.Les téléphones portables. Enfin, leurs propriétaires qui hurlent « Tu veux quoi comme coca ? » au déli, dans les rues… et toutes les omaillegodes qui racontent leur ébats à 120 décibels.

15.Les talkies-walkies. Ils ont le grand avantage sur les téléphones portables de faire bliblip bliblip quand le correspondent se met à raconter sa vie. Généralement fort apprécié des Ouatseupbeudies dont il a détruit le cerveau (les ondes ?)

16.Les annonces dans le métro, sur lesquelles je ne vais pas tergiverser des heures parce qu’Emissaire l’a fait mieux que moi, mais franchement, si c’est pour dire « Shalanamala *train* shmalflkajana *closing doors* », c’est vraiment pas la peine de hurler.

17.Les alarmes incendies qui se mettent inopinément en route sur le coup de 3 heures du matin quand vos hôtes, à la suite d’une pendaison de crémaillère fort arrosée, « confondent » le bouton de l’alarme incendie avec celui de l’ouverture de la porte d’entrée de l’immeuble. En fait y avait pas de bouton pour sortir de l’immeuble, il suffisait juste de pousser la porte – comme c’est écrit dessus – au lieu d’essayer de la tirer. Mais à 3 heures du matin à la suite d’une pendaison de crémaillère fort arrosée, c’est délicat.

18.Je ne sais pas vous, mais moi j’ai l’impression que New York est continuellement en travaux. Quand c’est pas pour démolir, c’est pour reconstruire. Au rythme des marteaux piqueur et du cri des ouvriers ça devient vite lassant.

19.Le blabla incessant de mes collègues de bureau. Pourquoi elles tiennent absolument à faire salon à un mètre de moi pour se raconter leur week-end ? De toute façon, vu comme elles hurlent, elles pourraient chacune rester assise à leur bureau elles s’entendraient quand même. Et moi je pourrais peut-être essayer de concentrer mes neurones, comme ça ?

20.Les lotissements en bordure d’autoroute. Vous imaginez le bruit que ça fait, des gens qui parlent dans leur salon, pour les pauvres automobilistes qui klaxonnent dans les embouteillages ou bien qui font hurler leur moteur pour aller plus vite ? (Ou alors c’est le contraire ?)

En fait, s’il n’y avait pas le pas éthéré de la voisine et le doux murmure de la scierie, Hoboken, ce serait calme, non ?