31 janvier 2006

La Floride n'a pas de chance avec ses machines électorales

TALLAHASSEE, Floride (AP) -- Ses vieilles poinçonneuses avaient prolongé le suspense lors de la présidentielle de 2000, remportée de quelques voix par George W. Bush. La Floride a modernisé depuis ses machines électorales, mais l'informatique n'a pas que du bon. D'après des tests, le nouveau système peut être victime de piratages qui permettraient de changer les résultats du scrutin sans laisser de trace de la fraude.
Dans le nouveau système, l'électeur remplit son bulletin avant de le glisser dans une machine à lecture optique qui enregistre son choix. Or, dans l'un des tests réalisés pour le superviseur électoral de l'Etat et l'association de surveillance électorale BlackBoxVoting.org, des chercheurs ont pu facilement entrer dans le système et remplacer le nom du vainqueur par celui du perdant. Le fabricant Diebold a répondu que les tests étaient "un acte très idiot et irresponsable".

(C'est Bush qui doit etre content...)

30 janvier 2006

Les rats dans le métro

Bon. Si je n’écris pas un “Lundi de Dolce Vita” illico presto, je crois bien que je vais me faire lyncher par mon fan-club...
Dans une soirée ou le Frenchie sort son sourire mille carats et ses chemises a boutons de manchettes, j’ai croise récemment un ami qui s’est révélé être fanatique de mes articles (sisi ça existe) et m’a expressément demande d’écrire une bafouille sur les rats. Je m’y colle donc (très en retard) pour lui faire plaisir.

Les rats, donc. Quand on prend le métro a New York, ce qui frappe en premier c’est l’odeur, fétide, comme si on plongeait dans la gueule d’un monstre. Mais en ce moment en particulier c’est toute une expédition. Sortir de chez soi et s’enrouler dans une écharpe, mettre ses gants et un bonnet. Oui, je sais, le bonnet a quelque chose de foncièrement ridicule. Mais tout le monde en met. Si l’accessoire fétiche de la Parisienne est l’écharpe, celui de la Newyorkaise est sans conteste le bonnet. Noir et discret, jusqu’au rose éclatant, avec des motifs et même des pompons. Le ridicule ne tue pas dans ce pays. Bref. J’enfile donc mon bonnet, mes gants, je renoue mon écharpe et je m’élance dans la rue. Evidemment au bout de quelques minutes, je commence à renifler et c’est la que ça devient sport. Il faut qu’avec les gants je tâte le fond de mon sac pour atteindre un mouchoir et généralement au bout d’une minute de fouille archéologique, je finis par atteindre un truc qui dans une autre vie a été un mouchoir, mais qui fera l’affaire faute de mieux. Donc, maintenant, je me mouche. Enfin j’essaie. Parce que je ne sais pas si vous avez remarqué, mais se moucher avec des gants, pour un peu qu’il y ait du vent, et un peu de neige, c’est un grand moment de bonheur. Vraiment. J’arrive donc a la station et là, il faut pour de bon que je sorte mes mimines délicates de mes gants pour atteindre mon portefeuille et trouver cette satané carte de métro et la “swiper” dans le bon sens (elle m’en veut d’ailleurs, elle expire toujours quand je suis en retard et en même temps que tout le monde alors je fais toujours la queue soit a l’automate, soit au guichet). Donc après m’être battue avec ma carte, je me fraye un passage au travers du flot de passagers qui remontent – ce qui veut dire que je viens de louper mon train. Groumpf.
Du coup j’ai de quoi admirer le paysage… Le “homeless” en train de dormir, affale sur un banc, les jambes appuyées sur le chariot qui contient sa vie. La bande de minettes en minijupes qui gloussent en battant des mains (pour se réchauffer ?). Les jeunes cadres dynamiques qui tapent frénétiquement sur leur Blackberry et tous les autres affaires à lire leur journal ou à trouver la bonne piste sur leur IPod. Et puis les voies. Sales, toujours sales. Le Newyorkais doit être persuadé que balancer ses déchets ou sa vieille MetroCard sur la voie du métro, c’est comme jeter un sou dans une fontaine : ca porte bonheur. Sinon je ne vois pas pourquoi on en trouve autant…. A croire que l’endroit est un champ de Metrocard et de vieilles bouteilles de soda en friches.
Et les rats, me direz-vous ? Oui, parce que, quand même, les rats, c’était le but de cet article, non ? Eh bien figurez vous qu’en été, les rats se faufilent entre les rails, entre les déchets. On ne les entend pas vraiment mais on finit toujours par les voir, une petite forme qui bouge, dans un ton brun pas tout à fait en phase avec la crasse d’ici bas. Yuk. (Même si, personnellement les cafards me repoussent plus que les rats, et ici, les cafards sont de belles bêtes, vraiment).
Et l’hiver, y’a pas de rats ? L’hiver. Les rats, ils sont pas fous, les rats. Ils savent que quand il pleut des cordes a New York, il pleut aussi *dans* le métro. Et ils quittent donc le navire…
D’ailleurs depuis qu’il s’est remis a faire froid et que je me bats pour déceler une trace de mouchoir dans mon sac du bout de mes gants, je n’ai pas vu un rongeur dans le métro… Damned !

29 janvier 2006

Trahis par un pourboire trop généreux

TEANECK, New Jersey (AP) - La générosité et la bêtise sont deux gros défauts quand on est un voleur. Deux hommes accusés d'avoir volé une dame âgée de 63 ans ont été retrouvés par la police après avoir laissé un pourboire de 150 dollars (environ 125 euros) à l'aide de sa carte de crédit.
Jovan McBean, 24 ans, et Carlos Pinella, 23 ans, sont accusés d'avoir agressé et volé leur victime à l'automne à Teaneck (New Jersey).
La police explique avoir pu retrouver leur trace grâce à la carte de crédit de cette dame, qu'ils ont utilisée pour acheter des cigarettes, mettre de l'essence et se payer plusieurs tournées avant de laisser un pourboire de 150 dollars à une serveuse d'un restaurant d'Englewood (New Jersey).
Les deux hommes ont été arrêtés depuis...

28 janvier 2006

Le New Jersey à court de slogan mais pas d'humour

PHILADELPHIE (Reuters) - L'Etat du New Jersey a organisé un concours pour trouver son nouveau slogan touristique et se débarrasser de sa réputation d'Etat-dépotoir où régneraient la corruption et les embouteillages.
Parmi les 7.800 propositions, des slogans comme "New Jersey: il est toujours possible d'embaucher un de ses proches" ou encore "Venez au New Jersey: ce n'est pas aussi mauvais que cela sent" n'ont pas été retenus.
Dans la liste des cinq slogans finalistes publiée mercredi, figuraient "New Jersey: attendez-vous à l'inattendu" et "New Jersey: l'amour au premier regard", pour promouvoir un Etat pas vraiment réputé pour sa jolie campagne et ses plages ensoleillées.
Le concours a été organisé après le rejet par le gouverneur Richard Codey du slogan "New Jersey: nous finirons par vous convaincre", imaginé par un consultant payé 260.000 dollars (219.500 euros).
"Cela me rappelle quand j'étais jeune et célibataire et que j'ai demandé à une fille de sortir avec moi", a déclaré Codey dans un communiqué. "Elle m'a repoussé. Je lui ai dit 'donne-moi une chance, je finirai par te convaincre.'"

27 janvier 2006

Anniversaire de Fred-euh (again) et brunch a Chinatown

On enchaîne, on enchaîne… Les sorties, les restos…. Pfiou… Dure, la vie, vraiment !
Vendredi soir dernier, j’étais a la soirée de VoilaNewYork a Overlook, ou j’ai rencontre plein de petits nouveaux… et ou j’ai fini par retomber sur Bene et Fred avec qui je suis partie dîner au Méli-Mélo (encore !) ou c’était tellement copieux que j’ai demande a remporter mon steak, j’en avais a peine touche un tiers. Notez qu’en France, un restaurateur vous regarde comme si vous veniez de le poignarder si vous ne finissez pas votre plat, et si vous demandez à l’emporter, c’est timidement avec un « c’est pour mon chien ». Ici, pas de problème, on vous le met dans un tupperware ou un ramequin en alu, il suffit de demander « Can you please wrap this for me ? » et hop, ca part en cuisine et ca vous revient dans un sac « Thank you » ou généralement « I love New York ». Véridique. Dîner très sympathie en tout cas.
Du coup, samedi je me suis levée tard et c’était bien. L’après-midi, intendance, et le soir, hop, on a mange a deux sur le reste de mon steak… et quand je dis deux, je devrais peut-être dire trois vu que c’est Fred qui m’a aidée ! Apres notre baffrage, on est parti a Manhattan, soirée d’anniversaire de Fred (bis) et de Françoise au « Plan B », un lounge d’Alphabet city.


Manque de bol, les deux malins n’avaient pas réservé et du coup, après une heure, on s’est fait ejecté du lounge : soirée privée. Imaginez une bande d’une quinzaine de personnes errant à la recherche d’un lieu accueillant… Intéressant ! Le second endroit était overcrowded, du coup on s’est remis en quête d’un lieu plus sympa, et on a termine chez Uncle Ming, sur l’Avenue B entre la 13eme et la 14eme rue. C’était très bien, les photos en dénotent !


Dimanche l’expédition pour Philadelphie a capote au profit d’un programme plus cool : je suis allée bruncher avec Anne Laure a Chinatown chez Dim Sum Go Go, des raviolis chinois.


Le secret ? Manger sans se préoccuper de la couleur / l’impression désagréable qu’on est en train d’engouffrer des trucs bizarres. Parce que c’est bon. Et c’est d’autant plus fun qu’on partage une grande table avec d’autres gens… Bon, certes, ca fait bizarre a une grande table ronde d’être les deux seules européennes entourées de chinois parlant le Mandarin en baffrant des raviolis… Et la carte du resto ? En fait de carte, c’est une feuille qu’on nous laisse sur la table, et a nous de cocher ce qu’on veut en indiquant la quantité, puis les serveurs nous assignent une couleur par « groupe » à la table pour nous apporter ensuite les plats. Contrairement aux idées reçues des occidentaux, ces raviolis à la vapeur sont le petit-déjeuner ou le brunch des asiatiques.
Apres ca, on a erre dans les rues de Chinatown (littéralement chiné) pour terminer chez Pearl River, un mall ou on trouve de tout, du supportable au kitschissime.


Du coup, après avoir raconte ca, le reste de ma semaine, bon… Ca a été un peu glandouille land avec des DVDs de Sex in The City (troisième saison qu’on a à la maison).
Hier soir on est allé prendre un verre au Lounge Eleven, il n’y avait personne ! C’est fou, quand on se dit que ce soir, ce sera bondé.
Enfin, on va bien se rattraper un peu ce week-end pour sortir, hum ?

26 janvier 2006

Sauvetage d'un bébé lancé du troisième étage d'un immeuble

NEW YORK (Reuters 12/15/05) - Une New-Yorkaise a jeté du troisième étage d'un immeuble en feu son bébé d'un mois qui a été attrapé au vol et sauvé par un joueur amateur de baseball, rapportent des médias.
Des chaînes locales de télévision ont diffusé la vidéo d'une caméra de surveillance montrant ce sauvetage miraculeux, mercredi, dans le quartier du Bronx, à New York.
On y voit un bébé, enveloppé dans une linge blanc, tomber de près de neuf mètres de haut dans les bras de Felix Vazquez, 39 ans, un employé des services du logement, qui se trouvait dans la foule attroupée au bas de l'immeuble.
La mère de l'enfant, Tracinda Foxe, a été secourue peu après par les pompiers, rapporte le Daily News.
Le bébé et sa mère ne souffrent pas de blessures sérieuses et sont sortis de l'hôpital.

25 janvier 2006

Dolce, modèle

Le jour de Martin Luther King etait ferie, et NekoNita m'a propose de faire une seance photo... Elle est enfin en ligne !
Encore un grand merci au photographe...

Quelques extraits :




23 janvier 2006

Groumpf

Question : suis-je la seule personne de cette planete a travailler avec une nana moche, mechante, et qui ne dit jamais bonjour le matin ?
A chaque fois, je brule de lui demander si elle a ete elevee par des loups ou bien si c'est juste parce que c'est une #*@%$x !!!
Je reve d'un matin, ou, au lieu d'arriver et de m'agresser en me demandant si j'ai bien fait mon boulot (a chaque fois, de toute facon, elle sait que oui), elle repondra bonjour a mon bonjour et elle me laissera deux minutes de repit avant de s'exciter.
D'habitude, je reste zen, mais la, je commence a rayer le bureau !
Groumpf !!

22 janvier 2006

Joyeux z'anniversaire, joyeux z'anniversaire-euh !


Un petit beurre des touyous, un petit beurre des touyouuuuuuuuus, etc.
Vive moi et vive mon blog, cree le 22 janvier de l’an de grace 2005 et qui fete donc aujourd’hui sa premiere bougie.


Bilan ?

Plus de 160 000 pages vues (nooooon ??? Siiiiiii)
Pres de 40 000 visiteurs uniques, perdus sur la toile ?
Et le mois de decembre 2005 en record avec rien que 30 000 pages vues ! 
Rien que ca… J’en reste baba. 

Bon certes, seulement 26 courageux abonnés à la niouzletter. On fait ce qu'on peut... 

Je me rends compte que certains articles, aussi, dont j’esperais un franc succes se sont pris un bide monumental, et d’autres, totalement anodins pour moi, font des hits d’audience. Comme les recettes de confiture, celle de rhubarbe ou de fraises notamment.
Et encore toutes les notes historiques sur les Etats-Unis, comme l’origine de Thanksgiving qui, lorsqu’on tape « origine de Thanksgiving » dans Google, apparaît sur la premiere page et dans les premiers liens. Idem pour l’Epiphanie avec mon article sur l’origine de la galette des rois
Ce blog a fait du chemin… Du simple « journal de bord » il est aussi devenu, par le fait de mon travail a New York, un carnet de voyage, et de remarques – plus ou moins pertinentes – sur les Etats-Unis et les mœurs des americains…
Et quand je regarde dans la sphere bloguesque autour de moi, j’en vois beaucoup qui se lancent dans l’aventure… et un peu moins qui s’y maintiennent avec assiduite. Certains par flemme, d’autres par manque de temps, d’autres encore pour manque d’inspiration ?
La seule chose qui me manque vraiment ? Savoir d’où viennent les lecteurs. A part les quelques curieux habitues, les autres sont anonymes. Et quand je vois le nombre de gens qui vont regarder ma bouille sur Picasa, je m’inquiete un peu de ne pas les connaître…

Quoi qu’il en soit : joyeux anniversaire moua ! Et longue vie a ce blog !

21 janvier 2006

NYC Winter Restaurant Week 2006


New Yorkers are oddly loyal (to a point of suspicion) when it comes to their favorite restaurants. For instance: You claim to have personally discovered the best Italian, Chinese, and Mediterranean in the entire city.
And, conveniently, they’re all located in the three-block radius around your apartment.
Come now. In the name of culinary integrity, it’s time to branch out.

NYC Winter Restaurant Week is coming to expand your palate (and your neighborhood). So clear your calendar (and start fasting), because from January 23-27 and January 30-February 3, you can experience the quality, variety, and hospitality that make New York the Dining Capital of the World.
Two hundred of New York’s finest restaurants and most talented chefs will offer three-course lunches for $24.07 and/or three-course dinners for $35 (beverage, tax, and gratuity are additional). Why $24.07, you ask? Not just so you could afford to expand your culinary horizons, but as a shout out to the city that never sleeps (24/7, get it?).
With such an offer, you can taste just how great great food is, no matter the size of your wallet. Check out nycvisit.com
for details and participating restaurants. The site links directly to opentable.com (so you can make reservations instantly online).

How to get a New Yorker to leave their ’hood?
Challenge their pick for best sushi in the city.
For your Winter Restaurant Week Guide call (800-NYC-GUIDE). Visit Opentable.com for a list of participating restaurants and to make your reservations online. For all that’s happening in NYC, go to nycvisit.com.
_______
Source : dailycandy.com

20 janvier 2006

Anniversaire de Fred et critiques gastronomiques

Argh couic. Le virus de la grippe qui traînait par la m’a eue. Damned je suis faite. Bon. J’espère juste que ce n’est pas la grippe aviaire, mais tant que je ne me mets pas à sautiller en gloussant comme une omaillegode, ça devrait aller.

Vendredi soir, Angélique nous a invites, Thomas et moi, à dîner chez elle, puis on est allé s’affoler un peu sur le dance-floor du Lounge Eleven à Hoboken.
Samedi, j’ai brunche dans un petit resto très sympa de Soho, le Mercer’s Kitchen, qui appartient au célèbre chef Jean George Vongerichtern (a vos souhaits), l’Alsacien qui révolutionne les papilles des New York ais. C’était cosy et la nourriture bonne. Avec des croissants comme chez nous. Une larme émue…
Le soir, on est sorti en troupeau de français pour l’anniversaire du petit Fred, mon colloc. Petit Fred ? Boah. Il fait bien ses 2 mètres de hauteur et ses 32 printemps maintenant… Du coup, je suis certes sortie, mais ça m’a donne l’impression d’une semaine plus calme…
 
Franchouilles obligent, on est allé au Méli-Mélo (plus j’écris et plus j’ai l’impression que ce blog se transforme en une chronique gastronomique de New York…) ou les desserts sont carrément fantastiques.


Mais le canard rôti avec sauce a la mangue était aussi à tomber par terre. 1) parce que c’était bon et 2) parce que c’était trop copieux.
Du coup, pour se secouer un peu, et après avoir révolutionne le resto en chantant en rythme sur les CDs du patron L’aventuraaaaaaaaaaaaaaaaa et les j’ai plus d’appétit qu’un baracouda, ba ra cou daaaaaaaaa, on est alle se trémousser dans le Lower East Side au Kush ou les Mango Mojitos sont très très bons, et la musique éclectique.
Dimanche, glandouille-land. Petit rendez-vous l’après-midi chez David et Guilhem pour organiser un week-end a la Nouvelle Orléans fin février, parce que ce sera Carnaval. Non, sans les airs de Venise avec la flotte. Parce que le French Quarter n’a pas du tout été touche par la vague des ouragans (ouf que parce que sinon bof, hein…)
Apres ça, lundi… ferie ! Merci a Monsieur Martin Luther King. C’était son jour, offert par l’entreprise. Hehe… Du coup j’ai été chez Sébastien faire des photos, depuis le temps qu’il voulait tirer mon portrait, pics to come soon.
Mardi boulot etc.… et le soir un French Tuesday @ Fizz, dans l’Upper East side, décor a la Klimt avec des surimpressions sur dorures un peu partout, au départ très bien, et puis comme d’habitude trop de monde alors je me suis éclipsée assez tôt.
Mercredi, dîner avec Fred au Lounge Eleven – j’ai mange des gnocchis « comme la bas, dis »… Le même goût que quand mon papounet mettait une matinée à les préparer a la maison quand j’étais petiote, et qu’en une demi heure on avait tout baffre !
Hier soir, rien de spécial, et ce soir, un pot East Side avec les loulous de VoilaNewYork  histoire de se diversifier. Et certainement une virée a Philadelphie dimanche !

19 janvier 2006

Le cocktail le plus cher du monde servi à Chicago: 950 dollars

CHICAGO (AFP) - Un barman ex-bijoutier vient de se faire un nom dans le "Chicago by night" en servant à ses clients un cocktail étincelant, le "Ruby Red", pour la modique somme de 950 dollars.
Pour servir le "Ruby red", Pete Gugni, gérant du club huppé Reserve, mélange vodka, champagne Dom Pérignon, cognac, jus d'orange, et grenadine, qu'il sert aux amateurs, non pas avec une cerise, mais avec un rubis véritable de 1 carat.
Expliquant la genèse de ce cocktail, il a déclaré qu'il cherchait "ce que l'on pourrait servir à un client qui vient célébrer quelque chose et qui veut s'en souvenir. Et l'on voulait quelque chose qui soit plus mémorable qu'une simple bouteille de champagne".
"C'est là qu'est venue l'idée du rubis. Quelque chose que l'on peut ramener chez soi".
Pete Gugni avait été pendant quelques années joailler, mais il trouvait ce métier ennuyeux et avait décidé de devenir gérant de bar. Ses anciens contacts dans la bijouterie lui permettent d'acheter des pierres précieuses en gros.
Mais pour l'instant il n'a trouvé que trois amateurs pour le fameux "ruby red".

18 janvier 2006

Qu'est ce que tu fais pour l'occasion ?

On vient de feter l'anniversaire de ma boss. Eh oui, aux US, cela se fait, on rassemble tout le monde dans un showroom de l'entreprise, et on appelle l'interesse au dernier moment, cela varie du "j'ai besoin de toi tout de suite" a "un client t'attend, depeche toi", bref elle debarque et on chante tous "Happy birthday to you... " etc. Evidemment, elle a beau aller sur ses 50 printemps, elle sautille comme une bonne omaillegode en tapant des mains et en poussant des petits gloussements de joie avant d'aller souffler ses quelques bougies posees sur une montagne de creme chantilly (qui doit recouvrir un gateau mais franchement j'ai l'impression qu'il n'y a que de la creme). Tout le monde est servi, on s'asseoit et on papote. Et, naturellement, on lui demande ce qu'elle va faire pour l'occasion. Et la dame de repondre "oh ce soir, il y a "24" a la tele, alors j'ai dit a mon mari, on sortira demain !".
Sic...

17 janvier 2006

Des insultes au lycée qui peuvent coûter cher

NEW YORK (Reuters) - Deux lycées du Connecticut font payer de fortes amendes aux élèves qui injurient les enseignants ou les éducateurs.
Des policiers présents sur place ont déjà infligé à des élèves grossiers une amende de 103 dollars (85 euros) pour désordre public, a expliqué Miriam Morales-Taylor, principale du lycée Bulkeley, à Hartford.
Ces amendes s'apparentent à celles infligées aux automobilistes pour excès de vitesse. Si elles ne sont pas payées, l'élève comparaît devant un juge.
"On n'utilise ces amendes qu'en cas de trouble au sein du lycée, quand un élève s'en prend à l'encadrement avec un langage vraiment offensant", a assuré Miriam Morales-Taylor.
Une vingtaine d'amendes ont été infligées depuis l'entrée en vigueur de cette mesure, en novembre, à Bulkeley, qui compte plus de 1.600 élèves, ajoute la principale.
Le lycée public d'Hartford, qui accueille environ 1.400 élèves, a institué une politique similaire.

16 janvier 2006

How do these people survive?

ONE
Recently, when I went to McDonald's I saw on the menu that you could have an order of 6, 9 or 12 Chicken McNuggets. I asked for a half dozen nuggets. "We don't have half dozen nuggets," said the teenager at the counter "You don't?" I replied. "We only have six, nine, or twelve," was the reply. "So I can't order half dozen nuggets, but I can order six?" "That's right." So I shook my head and ordered six McNuggets

TWO
I was checking out at the local Wal-Mart with just a few items and the lady behind me put her things on the belt close to mine. I picked up one of those "dividers" that they keep by the cash register and placed it between our things so they wouldn't get mixed. After the girl had scanned all of my items, she picked up the "divider," looking it all over for the bar code so she could scan it. Not finding the bar code she said to me, "Do you know how much this is?" I said to her "I've changed my mind. I don't think I'll buy that today." She said "OK," and I paid her for the things and left. She had no clue to what had just happened.

THREE
A lady at work was seen putting a credit card into her floppy drive and pulling it out very quickly. When asked what she was doing, she said she was shopping on the Internet and they kept asking for a credit card number, so she was using the ATM "thingy."

FOUR
I recently saw a distraught young lady weeping beside her car. "Do you need some help?" I asked. She replied, "I knew I should have replaced the battery to this remote door unlocker. Now I can't get into my car. Do you think they (pointing to a distant convenience store) would have a battery to fit this?" "Hmmm, I dunno. Do you have an alarm, too?" I asked. "No, just this remote thingy," she answered, handing it and the car keys to me. As I took the key and manually unlocked the door, I replied, "Why don't you drive over there and check about the batteries. It's a long walk."

FIVE
Several years ago, we had an Intern who was none too swift. One day she was typing and turned to a secretary and said, "I'm almost out of typing paper. What do I do?" "Just use copy machine paper," the secretary told her. With that, the intern took her last remaining blank piece of paper, put it on the photocopier and proceeded to make five "blank" copies.

SIX.
I was in a car dealership a while ago, when a large motor home was towed into the garage. The front of the vehicle was in dire need of repair and the whole thing generally looked like an extra in "Twister." I asked the manager what had happened. He told me that the driver had set the "cruise control" and then went in the back to make a sandwich.

SEVEN
My neighbor works in the operations department in the central office of a large bank. Employees in the field call him when they have problems with their computers. One night he got a call from a woman in one of the branch banks who had this question: "I've got smoke coming from the back of my terminal. Do you guys have a fire downtown?"

EIGHT
Police in Radnor, Pa., interrogated a suspect by placing a metal colander on his head and connecting it with wires to a photocopy machine. The message "He's lying" was placed in the copier, and police pressed the copy button each time they thought the suspect wasn't telling the truth. Believing the "lie detector" was working, the suspect confessed.

NINE
A mother calls 911 very worried asking the dispatcher if she needs to take her kid to the emergency room, the kid was eating ants. The dispatcher tells her to give the kid some Benadryl and should be fine, the mother says, I just gave him some ant killer.... Dispatcher: Rush him in to emergency!

15 janvier 2006

La "case de l'oncle Tom" en vente près de Washington

WASHINGTON (AFP) - La "case de l'oncle Tom", rendue célèbre dans un roman sur l'esclavage, est actuellement en vente à Rockville (Maryland, est), près de Washington, a-t-on appris mardi auprès de la Société historique du comté de Montgomery.
"Elle est en vente", a indiqué à l'AFP la directrice de la Société historique, Mary Kay Harper. Selon le quotidien Washington Post, la maison coloniale de trois chambres avec la "case" adjacente est à vendre pour 990.000 dollars.
Selon Mme Harper, les autorités locales du comté de Montgomery envisagent de collecter des fonds pour l'acheter et en faire un lieu historique accessible au public.
Jusqu'à maintenant, la maison "a toujours été une propriété privée", a-t-elle souligné. "Très peu de gens savent qu'elle se trouve là, sur la vieille route de Georgetown", a-t-elle ajouté.
La dernière propriétaire, Hildegarde Mallet-Prevost, est morte en septembre à l'âge de 100 ans, et sa famille a décidé de mettre en vente la maison et la case adjacente où a vécu Josiah Henson, l'esclave dont l'autobiographie en 1849 a servi de modèle pour le célèbre roman "La Case de l'Oncle Tom".
Le roman, qui valut un succès immédiat à son auteur Harriet Beecher Stowe, raconte les péripéties d'un esclave aux Etats-Unis.
Né dans le Maryland en 1789, Josiah Henson a travaillé pendant 41 ans comme esclave aux Etats-Unis. En 1830, il partit avec sa famille s'installer au Canada, où il écrivit son autobiographie.
Une autre "case de l'oncle Tom" existe dans l'Ontario, au Canada, mais les historiens locaux américains considèrent que ce titre appartient à la maison de Rockville, car Henson y a vécu durant la période où le roman de Harriet Beecher Stowe se déroule.

14 janvier 2006

Rendez-nous la statue de la liberté !


Pour ceux qui ne l'avait pas remarqué (En fait, je ne m'en suis rendu compte grace a mon colloc fin decembre dernier), eh bien la Statue de la Liberté flambeau de niou illorque etc. se trouve... Dans le New Jersey-euh ! Si, j'ai regardé sur plusieurs carte et a chaque fois hop elle est du coté de Garden State. Donc je réclame cette dernière sur les plaques du NJ et que les New-Yorkais arretent de craner avec, na !

13 janvier 2006

Galette des rois, cadeaux, et autres jeux


Une belle semaine de travail, vu que ma boss est a Hong Kong et ma collegue en croisiere dans les Caraibes. Groumpf. Puisque je vous dis que je dis ca tout le temps

Des consolations ? Heureusement. Vendredi soir on a tire les rois a Hoboken entre franchouilles, et j’ai eu la feve… Chouette… C’etait notre fameuse galette made by Fauchon que je suis allee cherchee au peril de ma vie – ou presque. Ok je n’ai marche que quelques blocs mais bon, la encore, dans la boutique, je suis tombee sur une blondinette qui avait les deux pieds dans la meme soque a plateforme brandee Manolo Blanik. Enfin bref. Elle a mis bien 10 minutes a retrouver ma commande et revenait regulierement me demander si cetait moi « Francoise Bernard » et si j’etais sure que ce n’etait pas moi parce qu’elle croyait que c’etait moi. Une blonde je vous dis.


Et puis comme ce sont les rois-mage qui apportent les cadeaux (et surtout parce qu’on etait pas la pour la Noyelle donc on a du remettre ca a plus tard), on s’est offert nos cadeaux :

Alors voila, maintenant j’ai un livre de cuisine en plus et duquel je me suis deja inspiree, un petit livre pour devenir une spa-girl a la maison, des bouchons pour le vin (pour reboucher une bouteille entammee) avec un petit renne, un petit Pere Noel et un petit bonhomme de neige tout mimis et j’ai eu aussi un Scoubidouuuuuuuuuuuu en peluche !

Samedi, glandouille-land et diner japonais a Hoboken, avant d’aller au Lua ou les gogo danceuses faisaient baver les garcons et rendaient les filles jalouses par leur dehanche. Je me demande encore comment elles font exactement pour osciller comme ca du popotin, moua j’arrive pas…
Dimanche, brunch au Pain Quotidien en troupeau avant d’aller voir l’exposition Pixar au Moma. On y avait tous les yeux qui brillaient comme des enfants devant un sapin de Noel garni de cadeaux ! 



Sinon, dans les highlights de la semaine, la soiree jeux de mardi, a la maison, c’etait plutot pas mal. On avait reussi a recruter plein de petits nouveaux d’EntreNewYork, on nous a rapporte une galette home made (bon, j'ai ete detronee. On fait ce qu'on peut), et on s'est fait deux tables de jeux sympas.
Ce week-end on fete l’anniversaire de mon colloc le petit Fred, details to come soon !  

12 janvier 2006

De la part de Nolwenn, un article drole et affligeant sur la reconciliation du couple Sarko, vu par le Times.


THE aircraft taxis down the runway, the door opens and the glamorous passenger rushes down the stairs into the arms of her estranged husband, waiting on the tarmac. As they drive away, she affords one final look back at the lover who remains, heartbroken, on the aircraft.
It may sound corny, but this is no Casablanca or trashy novel. This was a real-life scene starring Cécilia Sarkozy, her husband, Nicolas, the French Interior Minister, and her jilted lover Richard Attias. And the story had the whole of France gripped.
News that Cécilia Sarkozy, 48, had returned to the ministerial residence after an eight-month affair would not normally have merited mention. However, the Sarkozy saga has taken France into new territory as the public has been apprised of the marital travails of the biggest political celebrity after President Chirac.
After months of begging with a broken heart, the Minister took his limousine to Charles de Gaulle airport on January 2. Before any other passengers were allowed to disembark, he greeted his errant wife and their son at the door of the airliner that had brought them from New York. M Attias, her lover, remained on board.
Mme Sarkozy’s return to the Place Beauveau was also a surprise for Anne Fulda, 47, chief political correspondent of Le Figaro, with whom M Sarkozy had embarked on une aventure after his wife’s departure. M Sarkozy and Mme Fulda had just returned from a Christmas break together at an Indian Ocean resort, VSD magazine said yesterday.
To recap from past episodes, Cécilia, as she is popularly known, is the part-Spanish, part-Russian wife and former chief adviser to the man who is the favourite to succeed M Chirac as President next year.
Last May, in the midst of the European Constitution referendum campaign, she walked out with M Attias, whom she had recruited for the rally that enthroned M Sarkozy as leader of the Union for a Popular Movement — M Chirac’s party — in late 2004. The media broke with the normal taboo on reporting private life on the ground that M Sarkozy had long paraded his wife and son as an electoral asset.
Sarko, as he is known, was humiliated when Paris Match splashed the lovers on its cover last summer as Mme Sarkozy began a move to New York, where M Attias is based. On television he appealed for privacy and sued a newspaper and news agency for reporting on Mme Fulda. Opinion was split on whether M Sarkozy would win sympathy as the wronged spouse or lose favour for the more traditional Gallic sin of failing to control one’s wife.
In the autumn, as M Sarkozy confronted the Paris riots, he found time to force a publisher to pulp a biography of his wife that had been written with her co-operation. Mme Sarkozy got cold feet after reading the manuscript and called in her husband, according to the author Valérie Domain, who accused the minister of bullying. Last week M Sarkozy signalled imminent news by waving his wedding ring in a television interview. He had removed the ring six months earlier.
Despite his demands for privacy, M Sarkozy could not resist exhibiting his wife’s return. The couple went shopping at the Ralph Lauren store near the ministry and on Tuesday, a television crew was on hand when M Sarkozy turned up to greet his wife after lunch at L’Esplanade, a favourite restaurant for journalists and the one M Attias chose to go public with Mme Sarkozy last spring.
Patrick Balkany, an MP and friend of Sarkozy, yesterday gave the authorised account, saying the couple had spent last weekend together in London. “Nicolas is living again. He needed her return. For months, not an hour passed without him telephoning or texting Cécilia, Nicolas has always been immensely in love with her. I know that he had an affair but it was obviously necessary to show that he was capable of living without her.”
Yesterday Le Parisien declared that l’affaire Cécilia marked a turning point. For the first time, “we have just followed in live action a marital crisis at the summit. This is une rupture.” La Rupture — a break with the past — is M Sarkozy’s slogan as he campaigns to become the centre-right presidential candidate.
M Sarkozy has made only one public comment since his wife’s return, saying he was glad to see the back of 2005, adding: “Life is the same for everyone when you are alone at night in an empty room.”

11 janvier 2006

Britney Spears élue personnalité la plus mal "fagotée" de 2005

LOS ANGELES (Reuters) - Britney Spears a été élue personnalité la plus mal fagotée du tout-Hollywood par un styliste qui fait de la chanteuse américaine une "Lolita périmée."


Blackwell, le styliste à l'origine du classement, estime que l'année 2005 a été celle du "chaos de la couture, du désordre dans les garde-robes et du goût miteux des stylistes".
Les starlettes Mary-Kate Olsen, Jessica Simpson, Lindsay Lohan et Paris Hilton figurent également dans son classement.
Britney Spears, qui a mis au monde son premier enfant en 2005, est une habituée du titre puisqu'elle caracole en tête de ce classement depuis cinq ans. Selon Blackwell, le parcours de la chanteuse rappelle celui d'une "princesse de la pop tombée dans le mauvais goût vestimentaire".
Le classement de ce gourou auto-proclamé de la mode est une tradition à Hollywood. De la reine Elizabeth II d'Angleterre à Elizabeth Taylor, personne n'est épargné.
Blackwell presse les femmes qu'il épingle de prendre exemple sur "la beauté naturelle et le style mémorable" de Reese Witherspoon, Nicole Kidman, Kate Moss, Scarlett Johansson, Natalie Portman et Dionne Warwick.

Voici la liste publiée par M. Blackwell pour l'année 2005:

1) Britney Spears
2) Mary-Kate Olsen
3) Jessica Simpson
4) Eva Longoria
5) Mariah Carey
6) Paris Hilton
7) Anna Nicole Smith
8) Shakira
9) Lindsay Lohan
10) Renee Zellweger.

10 janvier 2006

Mes sept péchés capiteux ?

Les chaînes de questions "top-tendance" sur les blogs... je suis touchée... Argggggg... Couic.
Bon bon d’accord, mais c’est bien parce que ca vient de ma petite marmotte preferee...

7 choses que je veux faire avant de mourir :
1. Le tour du monde. Rien que ca, oui je sais. Pas envie de me cantonner a un pays si je peux aller plus loin, hehe…
2. Apprendre l’italien.
3. Savoir faire de la pate feuilletee.
4. Ecrire un roman. J’ai dit ecrire et pas publier, notez. Au cas ou je me plante.
5. Le GR-20. Pour l’instant cela releve du fantasme de la debutante.
6. Etre P-D-G de la planete.
7. Ou rentiere.

7 choses que je fais bien :
1. Groumpfer.
2. La crepe sur la plage. Et glandouiller en regle generale.  
3. La cuisine et en particulier les desserts. I’m a sweet tooth.
4. To “procrastinate”. En anglais ca veut dire faire trainer. En gros donner, au bureau, l’impression qu’on est en train de bosser comme un fou alors qu’en fait on est en train de repondre a une chaine de question a la (con) noix.
5. Ecrire. Et j’aime ca. Ca se voit pas ?
6. Ranger. Enfin, au moins, y’en a une dans la maison qui sait ou sont “ma carte de metro, t’as pas vu ma carte de metro ?”
7. Les scoubidous, les bracelets bresiliens et la pate a sel. Mais il parait que j’ai passé l’age alors bon.


7 choses que je ne sais / peux pas faire :
1. Regarder stoiquement une fraise tagada / un carre de chocolat / du dulce de leche / un pot de nutella etc… sans me jetter dessus comme la misere sur le pauvre monde (ou alors c’est que je suis malade, mais vraiment malade, et qu’il vaut mieux appeler tout de suite une ambulance)
2. Ne pas prendre de dessert au restaurant – surtout s’il y a quelque chose avec du chocolat sur la carte. (ou alors c’est que je suis malade, mais vraiment malade, et qu’il vaut mieux appeler tout de suite une ambulance)
3. Laisser une porte d’armoire / un placard ouverte sans la fermer en passant devant.
4. Me faire un brushing correct. Je n’arrive jamais a atteindre les cheveux derriere ma tete qui gardent une frisure bizarre quand je reussis a etirer correctement le reste.
5. Faire du roller ou skier. Je crois que je fais un blocage psychologique.
6. Rester silencieuse / serieuse plus de deux minutes d’affilee hors des murs de mon bureau. (ou alors c’est que je suis malade, mais vraiment malade, et qu’il vaut mieux appeler tout de suite une ambulance)
7. Etre fair play dans un jeu de societe : jouer sans tricher et/ou perdre sans groumpfer. Cf. point 1


7 choses qui vous attirent chez votre partenaire

Oulàlà, je vous en pose, moi, des questions... ... Bon, alors :
1. son sourire quand je le fais rire
2. ses mains
3. son abilite a siffler juste et a chanter desesperement faux
4. ses ughs
5. ses ‘izous’.
6. son incapacite chronique a fermer tout ce qui se ferme : porte d’armoire, placard, sucrier, portes… et a “perdre” des affaires (au milieu de la table ?)
7. j’aime bien quand il se blottit contre moua pour dormir.


7 choses que je dis souvent :

1. T’es ouuuuuuuuuuu ? T’es avec quiiiiiiiiii ? Tu fais quoiiiiiiiiiiii ?
2. J’chuis fatiguee.
3. Omaillegode !!! (en battant des mains)
4. Tu rentres tard ?
5. Groumpf.
6. Oui maman je t’appelle la semaine prochaine.
7. Mais-euh !


7 béguins pour des célébrités – en vrac :

1. Hugh Grant
2. Rodrigo Santoro (qui joue le role de Karl
dans Love Actually)
3. Matthew McConaughey
4. Vicent Elbaz
5. Brad Pitt (ouaaaaaaaais je sais c’est tellement classique)
6. George Clooney (mais je me suis calmee depuis que je sais qu’il a le QI d’une huitre)
7. Aladin !


7 personnes dont vous aimeriez qu'elles racontent leur sept péches capiteux :

Angelique
, Guilhem, Miss Gally, Deligne, Eric, SmellyKat et David 

9 janvier 2006

Une adolescente retrouve sa jambe artificielle, deux mois après son vol

LOS ANGELES (AFP) - Une adolescente américaine amputée d'une jambe et qui s'était fait voler une prothèse lors d'un cambriolage près de Los Angeles a retrouvé l'objet au fond de son jardin, sans doute déposé là par un voleur pris de remords, a indiqué vendredi la police.
Début novembre, des cambrioleurs avaient visité la maison familiale de Melissa Huff, 16 ans, emportant de l'argent et plusieurs objets dont une prothèse.
Cet accessoire était d'un type spécial, avec un pied flexible permettant à l'adolescente, qui a perdu une jambe après avoir été renversée par une voiture il y a deux ans, de jouer au softball, une version féminine du baseball.
Mais l'affaire a rebondi jeudi après la découverte de l'objet dans le jardin familial à Temple City, à 20 km au nord-est de Los Angeles.
Selon le sergent David Austin, du bureau du shérif de Los Angeles, la jambe a "sans doute été jetée par dessus la clôture dans l'arrière-cour". "Peut-être quelqu'un a-t-il eu des remords", a déclaré le policier à la chaîne de télévision KCAL9.
Selon la chaîne, Melissa s'est félicitée du retour de sa jambe, alors que la saison de softball est sur le point de débuter. La police garde pour l'instant la prothèse comme pièce à conviction, espérant y relever des empreintes digitales, mais devrait la rendre rapidement à l'adolescente.

8 janvier 2006

Accident de la circulation dans le Kentucky: un homme faisait conduire son fils sur ses genoux

FLEMINGSBURG, Kentucky (AP) - La police du Kentucky, dans l'est des Etats-Unis, a eu la mauvaise surprise de découvrir que le conducteur d'une camionnette à l'origine d'un accident de la circulation était... un enfant de sept ans, assis sur les genoux de son père.
Donald Everett Waters, 39 ans, a été inculpé de mise en danger de la vie d'autrui, mais aussi d'insultes à agent, possession illégale d'une arme, conduite en état d'ivresse et délit de fuite.
Après avoir percuté un autre véhicule vendredi sur l'Interstate 64, Waters a en effet poursuivi sa route dans les conditions que l'on sait. Quand les policiers l'ont arrêté, ils ont découvert que l'homme actionnait les pédales tandis que son fils Cody était au volant.
Le shérif du comté de Clark, Ricky Estes, a précisé que le père était "à moitié conscient" au moment son arrestation. "Il nous a dit qu'il faisait route vers la Floride et que son fils allait l'y conduire..."
Le deuxième fils de Waters, âgé de trois ans, se trouvait également dans la camionnette, qui servait apparemment de refuge à la petite famille. Les enfants ont été pris en charge par les services sociaux de l'Etat. Waters a lui été conduit en prison.

7 janvier 2006

Un ex-maquilleur de la CIA fait des miracles pour les défigurés

ASHBURN (Etats-Unis) (AFP) - Un ancien maître du déguisement des espions et agents doubles à la CIA exploite ses talents pour fabriquer fausses oreilles et autres prothèses faciales plus vraies que nature et transformer la vie de défigurés victimes d'accident ou de malformations.

"A la CIA, où j'ai travaillé près de 25 ans jusqu'en 1993, j'ai souvent changé l'identité d'agents et de transfuges pour les faire sortir" des pays où ils risquaient leur vie, raconte Bob Barron, la soixantaine, grosse moustache et crinière blanche.
"Les déguisements devaient être parfaits pour éviter une détection du subterfuge, même de très près, car la vie de ces agents en dépendait", ajoute-t-il en référence à certaines missions au-delà du rideau de fer pendant la guerre froide. Mais il n'en dira pas plus sur ces missions CIA dans son cabinet à Ashburn en Virginie (est), en précisant "c'est toujours sous le sceau du secret-défense".
De formation artistique, Bob Barron souligne avec fierté avoir contribué à l'évolution des techniques de déguisement à la CIA où il a débuté dans la contrefaçon de documents et passeports.
"On est capable maintenant de faire des masques en silicone ressemblant à la peau humaine à s'y méprendre comme dans le film 'Mission Impossible' avec Tom Cruise", assure-t-il en exhibant une de ses créations. La pose de tels masques prend de trois heures et demie à 4 heures mais ils peuvent être enlevés en quelques secondes, poursuit Bob Barron.
Déclinant les offres des studios d'Hollywood lorsqu'il a pris sa retraite de la CIA, il a préféré consacrer sa seconde carrière aux personnes défigurées.
"Si je pouvais dissimuler l'identité de quelqu'un en modifiant son apparence physique quand j'étais à la CIA, je pouvais aussi rendre à une personne défigurée son identité avec une prothèse et changer sa vie", explique-t-il.
Depuis l'ouverture de son cabinet "Custom Prosthetic Designs"
il y a une dizaine d'années, il a fabriqué des centaines de faux nez, oreilles et yeux comme en témoignent les albums photographiques, moulages et prothèses dans son laboratoire.
L'ex-maître en déguisement se prépare à poser une oreille à un garçon de 5 ans, Peter Dankelson, souffrant d'une malformation congénitale.
Peter et ses parents ont fait neuf heures de route pour venir du Michigan (nord) pour la pose de cette prothèse, meilleure solution que la chirurgie de reconstruction qui, selon Bob Barron, n'est jamais satisfaisante.
Dans le cas de Peter, le chirurgien a recommandé la prothèse et l'assurance médicale de ses parents a accepté d'en rembourser le coût, explique sa mère sans en préciser le montant.
Sortant l'oreille de silicone du moule où elle a cuit dans un four, Bob applique une colle spéciale et la pose sur le côté gauche de la tête du garçon en expliquant à sa mère comment retirer la prothèse pour la nuit avant de la reposer le matin. Il prend ensuite sa palette de couleurs et commence avec de petits pinceaux à colorer la prothèse jusqu'à ce qu'elle se fonde parfaitement dans le visage de Peter et ressemble parfaitement à son autre oreille.
Les larges sourires du garçonnet et de ses parents témoignent de la réussite de la prothèse.
Peter, fier d'"avoir enfin deux oreilles comme papa" se dit impatient de retourner à l'école. Sa mère compte organiser une grande fête pour l'occasion.
"Outre l'énorme gain psychologique pour la personne, une prothèse a également une utilité médicale comme celle de protéger des tissus à vif avec des faux nez ou de restaurer 20% de l'ouïe avec une (fausse) oreille", assure Bob Barron.

L'origine de la galette des rois


La fête des rois, ou épiphanie, a lieu le 6 janvier de chaque année chrétienne. "Epiphanie" vient du grec et signifie "manifestation, apparition". Cette date correspond à la présentation de l'enfant Jésus aux rois mages.
Melchior, Balthazar et Gaspard sont des noms qu'on leur a donné au Xe siècle. Ils représentaient l'Asie, l'Afrique et l'Europe, les seuls continents connus avant la découverte du nouveau monde.
Les rois mages étaient venus d'Orient jusqu'en Judée, guidés par une étoile pour rendre hommage au Roi des Juifs né à Bethléem. Aussi, ils lui apportèrent des présents.
Melchior, le plus âgé offrit de l'or, Balthazar offrit la myrrhe et Gaspar, le plus jeune des trois, offrit l'encens.
Ces présents sont symboliques:
- l'or est présent des rois
- l'encens, celui des dieux et des maîtres
- la myrrhe, servant à l'embaumement, est symbole de renaissance.

La fève dans la galette remonte au temps des romains. Elle était blanche ou noire et était déposée pour les scrutins. Au début janvier, les saturnales de Rome élisaient le roi du festin par une fève.
Si la tradition est d'origine religieuse, elle est devenue maintenant une tradition familiale ; l'occasion de se rassembler avec les amis pour découper la galette. Celui qui trouve la fève est couronné roi et choisit sa reine et vice versa.
Une légende raconte aussi que la fève serait née avec la fameuse bague de Peau d'âne qu'elle portait au doigt et qui glissa dans la pâte juste avant qu'elle enfourne le gâteau.

La galette a ses parts sacrées. Ou plutôt, avait. La tradition était la suivante. La première part, appelée "part du pauvre" désignée par le plus jeune enfant de la famille était réservée au premier visiteur imprévu.
Il y avait aussi la "part des absents" : le fils aux armées, un parent sur un vaisseau du roi ou le pêcheur qui n'était pas rentré. C''était une façon de dire "on pense à vous". Si le gâteau se gardait longtemps sans s'émietter et sans moisir, le présage était bon.
Il existe deux sortes de galette.
1. la brioche nature toujours en forme de grosse roue parsemée de pépites de sucre, en Provence, elle est fourrée aux fruits confits.
2. la galette feuilletée fourrée de frangipane.
Notons enfin que la frangipane est une sorte de crème d'amande inventée au XVIème siècle inventée par un saucier florentin "Frangipan". D'où son nom.

Et la France n’est pas la seule a feter les rois : le Mexique ou l’Espagne les celebrant egalement. Il est par contre difficile de faire une galette aux Etats-Unis, a moins d’etre dans un quartier de “mejicanos”, difficile de trouver de la poudre d’amandes… Il reste encore, pour les New Yorkais, Payard ou Fauchon, mais il faut alors y mettre le prix – la galette a la frangipane peut monter jusqu’a $50…!

6 janvier 2006

Nouvelle année, résolutions.

Bonne annee ! La Saint Sylvestre a ete cette annee une debauche de champagne et de foie gras (une terrine faite par Angelique, a tomber par terre), en bonne compagnie a Hoboken . Une belle table n’est ce pas ?


On a bien mange, bien bu, on s’est bien amuse, on a un peu danse, bref une tres bonne soiree avec bisous aux douze coups de minuit. Evidemment on a allume la tele juste pour se moquer des milliers de gens qui congelaient depuis 18 heures a Times Square en attendant l’explosion de LA boule, tradition s’il en est, des gens qui arrivent a rester 6 heures debout sans bouger (et sans aller aux toilettes). Moi je ne peux pas ! Quand je prends le metro, je me debrouille toujours pour avoir *la* place assise, terminer ma nuit et fermer les yeux le matin, ou juste pour le plaisir de poser mes fesses et de faire la feignasse.
Resolution pour 2006 ? Ne plus m’asseoir tout le temps dans le metro ? Boah, de toute facon, quand il est vraiment plein je ne peux pas m’asseoir alors bon, ca tient pas vraiment.
Cette semaine ? Argh. La reprise. C’est toujours violent, au debut d’annee, de se remettre dans le bain. Comme si on avait besoin de vacances pour se remettre des vacances de Noel ou on a trop festoye…
Du coup, j’ai meme eu du mal a suivre le cours de step de mardi, impression d’avoir pris dix kilos pendant ces quelques jours en (syndrome du hamster : emmagasiner du foie gras pour l’annee ?)
Resolution pour 2006 ? Continuer a bouger mes fesses pour profiter du foie gras (celui d’Angelique notamment…) et du champagne. Celui des French Tuesdays par exemple. Les derniers French Tuesdays, c’etait pas mal. Un lounge au lieu d’une salle enorme, special “members only oblige”, du coup on a moins danse, mais on a aussi moins attendu au coat check. Quoique la blonde avait vraiment du mal :
- [moua] Numero 266. J’ai un manteau, un pashmina, et un sac noir.
- [blonde, deux minutes plus tard] Et voila votre manteau, au revoir !
- Euh… je veux bien mon pashmina et mon sac aussi.
- Ah. Oui tout de suite. C’etait quoi votre numero deja ?
- 266. Un pashmina rose fuschia et un sac noir en microfibre.
- [2 minutes plus tard encore] ca y est, j’ai votre pashmina, au revoir !
- Je veux bien mon sac aussi !
- Ah oui mais je le trouve pas !
Veridique. Bon elle a quand meme fini par le trouver. Ouf que parce que sinon bof.
Triste constat que ce debut d’annee 2006 – j’ai recu une flopee d’emails et de cartes de voeux electroniques, mais personne n’a eu le courage de prendre la plume pour repondre a mes bons voeux. Alors que oui, moi, j’ai passé du temps a penser a mes amis, et j’ai envoye une carte a la grande majorite.
Resolution pour 2006 : ne plus ecrire de cartes de voeux, puisque de toute facon, les gens sont trop feneants pour y repondre.
Et aussi ? J’ai ouvert un compte epargne a 3.5 %. Meme en on n’a pas ces taux las ! C’est vrai que la FED a monte les taux directeurs. Du coup j’ai du affronter le dragon de la banque en question (HUB pour ceux que ca interesse). Le dragon ? Allez, un metre soixante dix, le double en kilos. Du coup on est tres poli et tres calme, en face, meme quand c’est long. J’y suis arrive avec mon passeport (avec visa), deux preuves de domicile, et ma carte de secu. Elle regarde le passeport. Ah c’est francais. Alors elle appelle pour savoir si je peux quand meme ouvrir le compte. C’est bon. Je lui donne ma carte de secu. “valid for work, only with INS authorization”. Re-coup de fil : elle savait pas ou trouver mon INS authorization. Reponse de son interlocuteur : le formulaire I-94 avec le visa (qui est dans le passeport). Bon. Apres elle a regarde l’I-94 minutieusement pour y chercher le cachet de l’immigration (bien que je lui ai propose de regarder *derriere* puisque le feuillet est agraphe et c’est le passeport qui est tamponne). Puis je lui tends mon justificatif de domicile (mon releve de compte bancaire et mon releve de salaire). Re-re-coup de fil parce que c’etait ni une facture de gaz, ni d’electricite, ni de telephone. Apres ca, c’etait le Saint Graal : l’autorisation definitive, c’etait ok, je pouvais ouvrir mon compte. Ouf.

Resolution pour 2006 ? Apprendre a sourire aux cons. Ca les enerve.

5 janvier 2006

Les USA augmentent le prix de leurs timbres

NEW 39-CENT FIRST-CLASS STAMPS AVAILABLE THURSDAY FOR JANUARY 8 RATE CHANGE

WASHINGTON - Customers have more options than ever to purchase 39-cent First-Class stamps beginning December 8 to use when the new postage rates go into effect Jan. 8, 2006. Plenty of two-cent stamps will be available for customers to use with their 37-cent stamps.

"It's never been easier to get stamps from the Postal Service - no matter where you are," explained Vice President and Consumer Advocate Delores Killette. "We're making this the sweetest holiday season ever by offering quick, easy and convenient access at home or work. While many of our 37,000 Post Offices will open early and stay open late this Holiday Season, customers can also visit usps.com to order stamps or obtain online postage for mailing packages. Our letter carriers will pick up packages from your home or office the next delivery day. Stamps ordered online or by calling 1-800-STAMP24 are typically delivered within three business days."

Lady Liberty and Flag (Non-denominated valued at 39-cents)


The 39-cent non-denominated First-Class definitive stamp features an image of the Statue of Liberty and the American flag. The statue was designed by French sculptor Frederic-Auguste Bartholdi with assistance from engineer and Eiffel Tower designer Alexandre-Gustave Eiffel. The statue is located on Liberty Island in New York Harbor and is a gift from to the in recognition of the friendship that developed during the American Revolution. Dedicated Oct. 28, 1886, it serves as a symbol of political freedom and democracy for millions of people around the world. The stamp will be available in pressure sensitive adhesive (PSA) panes of 20, PSA booklets of 20, PSA coils of 100, and water activated gum coils of 3,000 for postal vending machines and business customers.

Navajo Jewelry (2-cent reprint)


A reprint of the two-cent definitive issued in 2004, the Navajo Jewelry two-cent stamp features a painted detail of a Navajo silver and turquoise necklace with sand-cast "squash blossoms" set with polished blue turquoise nuggets. The stamp is available in panes of 20.
Since 1775, the Postal Service and its predecessor, the Post Office Department, has connected friends, families, neighbors and businesses by mail. It is an independent federal agency that visits 144 million homes and businesses every day, six days a week and is the only service provider delivering to every address in the nation. The Postal Service receives no taxpayer dollars for routine operations, but derives its operating revenues solely from the sale of postage, products and services. With annual revenues of more than $69 billion, it is the world's leading provider of mailing and delivery services, offering some of the most affordable postage rates in the world. The Postal Service delivers more than half of the world's mail volume - some 212 billion letters, advertisements, periodicals and packages a year - and serves seven and a half million customers each day at its 37,000 retail locations nationwide. Its website, usps.com, attracts more than 21 million visitors each month.

Succès de l'opération "armes contre cadeaux de Noël" près de Los Angeles

OS ANGELES (AFP) - Apportez vos revolvers, repartez avec des bons d'achat pour des cadeaux de Noël: la police de Compton (Californie) cherche par ce moyen à réduire le nombre d'armes à feu en circulation dans cette ville ravagée par la guerre des gangs.
L'opération "Armes contre cadeaux", qui se déroule tous les samedis depuis le 10 décembre et jusqu'à la veille de Noël, a déjà permis de collecter 224 armes à feu, a indiqué lundi le sergent Raul Regalado, du bureau du shérif de la ville située à 40 km au sud de Los Angeles.
La première semaine, seules 12 armes ont été échangées, mais samedi dernier, ce nombre est passé à 212. "Au début, il ne s'agissait que d'un bon d'achat de 50 dollars, mais le week-end dernier, le bon d'achat a été porté à 100 dollars", a expliqué le policier.
Les bons sont remis à toute personne apportant une arme à feu, sans que les policiers ne posent de questions. Ils peuvent ensuite être utilisés au choix dans des supermarchés d'alimentation, d'électronique ou de jouets.
Cette opération est une première à Compton, 93.000 habitants, ville qui a connu 68 meurtres depuis le 1er janvier 2005, soit plus de dix fois le taux d'homicide national américain. La plupart de ces meurtres sont liés aux gangs, selon le shérif de Los Angeles Lee Baca.

4 janvier 2006

Les renseignements au 411

Pour info aux residents des US :
Cell phone companies are charging $1.00 or more for 411 / information calls when they don't have to. When you need to use the 411 / information option, simply dial 1 800 FREE 411 or 1 800 373 3411 without incurring a charge at all except for the minutes required to make the call.

Et c'est la meme chose avec les telephones fixes !

3 janvier 2006

Un adolescent utilise des stylos explosifs pour se venger d'avoir été renvoyé de son école

ROSEMEAD, Californie (AP) - Un adolescent a reconnu avoir trafiqué des stylos qui ont explosé, blessant trois personnes dans deux lycées californiens, parce qu'il voulait se venger après avoir été renvoyé d'un de ces établissements scolaires, a annoncé la police.
Des policiers ont arrêté le jeune homme de 17 ans mercredi, après avoir reçu un appel téléphonique anonyme qui les a conduits jusqu'à son domicile.
Ils ont dit avoir retrouvé des matériaux explosifs et des livres dont il se serait servi pour apprendre à trafiquer des stylos afin qu'ils explosent quand on enlève les bouchons.
Les victimes qui ont trouvé ces stylos par terre dans les lycées de Rosemead et d'El Monte, et qui les ont utilisés, ont été légèrement brûlés et égratignés au niveau des mains et du visage.
"Il a reconnu que c'était stupide", a déclaré Dennis Miller, de la police d'El Monte. "Cela aurait pu causer des blessures beaucoup plus graves, voire tuer quelqu'un".
Le jeune homme avait été renvoyé du lycée de Rosemead.

2 janvier 2006

Bonne année

Tres belle annee a tous les bloggeurs, surfeurs et autres adeptes de la toile !

photo : www.photos-sg.com